L’objectif de cet atelier est de discuter des résultats préliminaires du processus de simulation des politiques publiques actuelles de décarbonation du secteur des transports dans notre pays, ainsi que de la formation aux outils de simulation utilisés.
Dans son discours à cette occasion, le Ministre a souligné que cet événement représente une plateforme importante d’échange entre les participants autour de scénarios possibles de décarbonation des transports, notamment dans le contexte actuel marqué par les effets ressentis du changement climatique sur le globe. et les circonstances économiques compliquées suite aux crises successives que connaît le monde en général, notant que les ambitions de notre pays en matière de développement durable sont très élevées.
Il a également souligné que la performance de l’économie nationale, la qualité de vie des citoyens, l’inclusion sociale et l’attractivité touristique dépendent fortement d’une mobilité efficace et propre. Par conséquent, l’adaptation des infrastructures et des systèmes de mobilité aux nouvelles conditions climatiques est essentielle, pour assurer le fonctionnement des transports et prévenir les pertes économiques, voire les catastrophes humanitaires.
Il est à noter que l’organisation de cet atelier constitue une opportunité d’échanger avec des experts internationaux sur les défis et opportunités permettant la formulation et le développement de mesures ambitieuses pour décarboner les activités de transport dans notre pays.
Le programme de travail de cette réunion, qui se déroule du 24 au 26 avril 2024, comprend des ateliers de formation sur l’utilisation d’outils de simulation utilisés par les experts du Forum international des transports pour déterminer des scénarios de réduction des émissions de carbone dans le secteur des transports.
La cérémonie d’ouverture de cet atelier a réuni plus de 100 participants, parmi lesquels des experts, des responsables représentant les services gouvernementaux, des décideurs locaux, des universitaires et des représentants de la société civile, afin de prendre en compte les spécificités et les priorités de notre pays.
