Pour la Suisse, il y a sanction et sanction

Pour la Suisse, il y a sanction et sanction
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Publié le 23 avril 2024 à 19h57 / Modifié le 23 avril 2024 à 20h00

La Suisse, qui a repris les sanctions européennes contre la Russie, fera-t-elle de même avec Israël ? Pas nécessairement, répondons-nous à Berne. Parce qu’il y a sanction et sanction. Et selon leur nature, elles sont suivies ou non par le Conseil fédéral selon une pesée d’intérêts qui exclut tout automatisme qui conduirait à un alignement sur l’Europe. La question pourrait cependant provoquer un nouveau bras de fer politique lié au conflit israélo-palestinien.

De quoi parle-t-on? Vendredi dernier, l’Union européenne (UE) a imposé des sanctions à quatre colons et à deux groupes de militants israéliens décrits comme extrémistes pour les violences commises contre les Palestiniens en Cisjordanie et à Jérusalem. Le Conseil de l’UE évoque de « graves violations des droits de l’homme », des actes de torture et des traitements « cruels, inhumains ou dégradants » ainsi qu’une violation du droit de propriété. Les sanctions comprennent le gel des avoirs et l’interdiction de visa.

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