sœurs hyperactives, elles veulent garder leur abbaye vivante

sœurs hyperactives, elles veulent garder leur abbaye vivante
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Les sœurs cisterciennes d’une abbaye ardéchoise se lancent dans le marketing.

Pour payer leurs dépenses, ils vendent des produits d’entretien et ils ont compris l’importance des réseaux sociaux.

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Le 20 heures

Leur vidéo proposant de vendre des bonhommes de neige par correspondance a été vue des milliers de fois. Au cœur des Cévennes ardéchoises, dans leur monastère de Notre-Dame des Neiges, des religieuses partagent sur les réseaux sociaux et dans la bonne humeur leur quotidien, où il n’est pas seulement question de prier, mais aussi de fabriquer un igloo, de faire de la luge. et le plus souvent du marketing. Car pour payer leurs factures, ces sœurs cisterciennes vendent des produits d’entretien à base d’eau de leur Source et d’huiles essentielles. Ils produisent jusqu’à 400 bouteilles par jour.

Lors de la visite de l’équipe de TF1, certains étaient par exemple en pleine séance photo pour leurs followers. “Le temps qui nous est imparti doit être utilisé à bon escient, alors allons-y” » illustre l’une d’elles, Sœur Marine, dans le reportage en tête de cet article. “Nous essayons de faire les choses nous-mêmes autant que possible car cela nous permet d’économiser de l’argent et nous pouvons ensuite contrôler ce que nous faisons.” continue Mère Anne.

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Leur défi : sauver leur abbaye où ils se sont installés il y a un an et demi et qui coûte cher à entretenir. « Rien que la facture d’électricité alors que nous faisons extrêmement attention à être le plus économe possible, nous sommes à 5 000 euros par mois », illustre davantage ce dernier.

Leur démarche originale est aussi l’occasion de changer l’image de la vie monastique. « Les gens ont souvent une vision très austère de la vie monastique mais cela ne nous empêche pas d’être dans une vraie joie, une vraie fraîcheur, une simplicité ; c’est une manière de dire aux jeunes : nous existons, si cela Si cette vie vous intéresse, c’est possible.


La rédaction de TF1 Reportage – Gaelle CHARNAY et Quincy RUSSELL

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