Publié le 17 avril 2024 à 18h13 / Modifié le 17 avril 2024 à 18h14
La justice vaudoise continue d’examiner le cas de Marc Porchet, secrétaire général de la Fondation Beaulieu de 2001 jusqu’à la débâcle de 2017. Alors que le Palais des Congrès de Lausanne sombrait, son one-man-band a fait preuve d’une loyauté, d’un engagement «au-delà de la raison» », prendre des risques dans l’urgence pour tenter de sauver – en vain – un navire à la dérive ? Ou au contraire a-t-il habilement entretenu un système financier opaque, véritable « pompe à mandats », au profit de son entreprise personnelle et de celle de ses proches ? Ce mercredi, c’était au tour de la Cour d’appel pénale du Tribunal cantonal d’être saisie de l’affaire, scories d’un retentissant scandale politico-financier à saveur vaudoise.
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