19 mois de prison pour une préposée aux bénéficiaires

19 mois de prison pour une préposée aux bénéficiaires
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Entre septembre 2023 et janvier 2024, Marjorie Savard a fait l’objet d’une surveillance de la part des autorités. Les informations de Source policière indiquaient qu’elle avait recommencé à livrer de la drogue avec son compagnon. Lorsque la femme de 33 ans a été arrêtée plus tôt cette année, il lui restait sept mois pour servir dans la communauté pour des crimes similaires.

Lors de la surveillance, les agents ont remarqué qu’elle se livrait à nouveau à ce type d’activité. La police a noté où elle se trouvait et a pu la voir effectuer une transaction avec une autre personne.

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Me Pier Alain Lalancette, du DPCP, a présenté les faits au tribunal. (COURTOISIE/COURTOISIE)

En arrivant chez elle, mandat en main pour perquisitionner son appartement et son véhicule, les policiers ont trouvé du cannabis, une petite quantité de cocaïne, des accessoires utiles à ce trafic, un livre de comptabilité et une somme de 1 940 $.

Le tribunal l’envoie en prison pour réfléchir

La juge Sonia Rouleau a révoqué sa peine en communauté. Les sept mois restants ont été transformés en prison. Le magistrat a accepté la suggestion conjointe de l’avocat de la défense, Me Julien Boulianne, et du procureur de la République, Me Pier-Alain Lalancette, d’ajouter 12 mois consécutifs pour un total de 19 mois dans l’ombre.

« Un tribunal vous a suffisamment fait confiance pour émettre des conditions en pensant que vous alliez les respecter. Vous avez commis d’autres infractions dans des affaires similaires. Il faut du temps pour réfléchir.

— Juge Sonia Rouleau

Marjorie Savard affirme ne pas être une consommatrice de drogue. Me Boulianne a mentionné que son conjoint avait une mauvaise influence sur elle.

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Me Julien Boulianne a présenté une proposition conjointe avec la Couronne pour la peine de détention. (ARCHIVES LE QUOTIDIEN/ARCHIVES LE QUOTIDIEN)

Le juge Rouleau lui a délivré un message sur les conséquences du trafic de drogue sur la société.

« Il y a urgence à dénoncer la vente de stupéfiants qui conduit trop souvent à la commission de nouveaux délits. “Cela a un impact important sur notre société.”

— Juge Sonia Rouleau

L’avocat de la défense a déclaré que sa cliente avait un plan de libération une fois qu’elle aurait purgé sa peine. Elle veut retourner à l’école.

#Canada

 
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