La cérémonie a eu lieu ce mardi sur la place d’Armes, où a été installé le nouveau monument aux morts.
Selon le protocole, la réunion a commencé par l’inspection des troupes. Viennent ensuite les honneurs à l’étendard, la revue des troupes, la remise des récompenses et les adieux aux armes du major Ferrand. Deuxièmement, ce fut l’inauguration du monument aux morts, qui a été financée par plusieurs communes (Nîmes métropole, Saintes-Maries-de-la-Mer, Beaucaire, Bouillargues, Caissargues, Garons, Générac, Saint-Gilles, Aigues-Mortes et Arles). ) et partenaires.
Sur le monument figurent les noms des soldats tombés au combat et les armoiries des villes partenaires. Il existe également un code QR qui permet de retracer le parcours des soldats tombés au combat. La cérémonie s’est ensuite terminée par un défilé des troupes. ” J’ai pris la décision de construire un monument aux morts l’année dernière dans le cadre du 80e anniversaire du régiment. Il s’agit de redonner des corps à certains morts du régiment. Mon objectif n’était pas d’aligner des noms sur une pierre, mais c’était un processus historique. Partagez notre histoire et leur histoire. Il s’agit d’une modernisation qui touchera davantage les jeunes », explique le commandant du corps Thomas Jehanno.
Cette cérémonie s’inscrivait dans le cadre du 217ème anniversaire de la création des premiers bataillons du Train, qui est l’arme qui organise et coordonne la logistique militaire, les transports (équipements, munitions, ravitaillements) et le soutien au mouvement (notamment la circulation). route) de l’Armée française. Elle a été créée en 1807 par Napoléon Ier.