A la salle communautaire Henry-Mollet du Vernet (Alpes-de-Haute-Provence), le maire (sans étiquette) François Balique a livré son sentiment sur la journée qui se déroule. “Ce que je souhaite vraiment pour la commune et pour les habitants, et comme tous les Français qui s’intéressent à cette affaire, c’est qu’on trouve la cause de la disparition de cet enfant”, souligne-t-il. tout de suite.
L’élu balaie tout changement dans le comportement de ses électeurs. « Nous sommes tous sous le choc depuis le 8 juillet », recadre-t-il. François Balique, présent lors des perquisitions citoyennes des premiers jours, était alors « convaincu » que la disparition d’Emile était « le cas d’un enfant égaré ». « Et puis, petit à petit, on a accepté l’idée qu’il n’était plus là. »
Le maire « espère vivement » pour la commune « que nous ne sommes pas dans un cas non résolu ». Le déploiement massif de moyens pour ce scénario lui donne cependant de l’espoir : « Cela veut dire que c’est vraiment pris au sérieux, et que tout ce qui peut être fait est fait », commente cet avocat de métier.
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