Libertés et Justice Sociale se lance dans la course aux élections municipales

Libertés et Justice Sociale se lance dans la course aux élections municipales
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Libertés et Justice sociale se lance dans la course aux élections municipales : le parti de Pierre Maudet annonce une campagne autour d’ateliers civiques pour inciter la population à s’impliquer.

Après avoir réussi son entrée au Grand Conseil, Libertés et Justice sociale ne s’arrête pas là : le parti politique se présentera aux élections municipales. Les noms des candidats ne sont pas encore connus : « Le mouvement Liberté et Justice Sociale est ouvert à tous. Toute personne intéressée par nos projets, par l’ADN de notre mouvement peut nous rejoindre. Je vous le rappelle, nous ne sommes ni contre la gauche ni contre la droite, nous sommes plutôt à gauche ou à droite » souligne Julien Pala, secrétaire général de LJS. Certaines personnalités sont néanmoins déjà sorties d’affaire : Masha Alimi pour la commune de Thônex, Djawed Sangdel à Vernier, Raphaël Dunand à Soral, ou encore Nicolas Pivin à la Ville de Genève. Ils pourraient briguer un siège au conseil d’administration de leur commune.

Sport, mobilité et seniors

La formation politique s’adresse en priorité aux communes de plus de 10 000 habitants. Elle aura trois axes principaux, avec une méthode de travail : « Apporter des projets, et ne pas faire des programmes qui ne soient pas tenables pendant la durée d’une législature. Nous souhaitons apporter des propositions autour du sport, des enjeux sociaux des seniors et de la mobilité», résume Nicolas Pivin, vice-président LJS et candidat à la Ville de Genève.

Des ateliers civiques pour former les futurs élus

Libertés et Justice sociale organiseront des ateliers civiques, une matinée par mois jusqu’à l’été. Ils sont ouverts à toute personne intéressée par la politique municipale – avec ou sans expérience : « Nous leur donnerons l’occasion de prendre conscience de ce que signifie faire campagne, de sortir de leur zone de confort, d’apprendre à synthétiser des idées. des idées… Le tout avec des personnes expérimentées qui viendront partager leurs connaissances, pour que chacun puisse comprendre ce que c’est que faire de la politique. Ensuite, les gens décideront s’ils veulent s’impliquer ou non », explique Laurent Seydoux, vice-président et député LJS.

Des personnes motivées constitueront ensuite des listes pour différents conseils municipaux. Les noms des candidats seront connus fin août.

 
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