Libertés et Justice Sociale veut recruter sur le terrain

Libertés et Justice Sociale veut recruter sur le terrain
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Libertés et Justice Sociale (LJS) lance la campagne pour les élections municipales de 2025. Le parti créé par le conseiller d’État Pierre Maudet en septembre 2022, et qui a fait une entrée fracassante au Grand Conseil au printemps 2023, espère réitérer l’exploit au niveau municipal. «Nous comptons poursuivre le travail sur le terrain», explique Laurent Seydoux, vice-président et adjoint LJS. Pour cela, nous allons organiser des ateliers civiques.

Au nombre de quatre ou cinq d’ici juin, ces formations visent à “informer les citoyens sur la vie politique genevoise mais surtout à accompagner les futurs candidats aux conseils communaux”, indique le député. « Nous souhaitons qu’ils démarrent en connaissance de cause, notamment pour éviter des démissions en cours de législature. Il s’agit de les informer sur la portée de cet engagement, leur champ d’action et les idées du mouvement.»

Afin de soutenir les novices, une bonne partie des dix députés porteront les couleurs de LJS dans leurs communes. Soit pour le conseil municipal, soit pour tenter de conquérir un siège à l’exécutif. Ainsi, Raphaël Dunand pourrait se présenter au Conseil administratif de Soral et Djawed Sangdel à celui de Vernier.

Dans la Ville de Genève, Nicolas Pivin, le vice-président de LJS, devrait s’y rendre. Dans les autres partis, plusieurs sont déjà sortis du bois. Les Verts libéraux devront départager Alexandre Wisard et Boris Calame. Skender Salihi a annoncé sa volonté de représenter le MCG. Chez les socialistes, Olivier Gurtner et Joëlle Bertossa sont candidats à la candidature.

 
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