Depuis des années, Gilles Desnoix écrit…
poèmes, romans, articles, etc.
Il écrit sur tout ce qui l’entoure, boulimique de personnages, assoiffé de vers et contre tous…
Insatiable de culture et de savoir, il s’intéresse à tout, un véritable puits sans fond !
Romancier, poète, nouvelliste, correspondant de presse PQR sur le Net, à 72 ans, cet ancien directeur territorial à la retraite écrit depuis l’âge de 15 ans. Ses deux mains ne suffisent plus pour compter ses publications : romans, recueils de poésie. , nouvelles, histoires, etc.
« J’écris tous les jours, sur l’ordinateur ou dans ma tête, les textes, les pages tournent en boucle jusqu’à ce que ce soit le moment de s’épanouir sur le papier ». Les projets ne manquent pas et Gilles ne connaît pas la sécheresse, son imaginaire est pleinement irrigué et ses voyages intra-cérébelleux toujours aussi nombreux.
Pour l’heure, il nous invite à la sortie de son dernier écrit, un thriller de 438 pages et 700 grammes à dévorer avec gourmandise. Une histoire où s’entremêlent les vies de nombreux personnages, dont les intrigues et les manigances ne sont pas trop éloignées de la réalité.
L’actualité nourrit cet auteur, toujours en quête de compréhension du monde dans lequel il vit.
Ce thriller est le mélange de plusieurs fils que l’auteur a tiré et tissé car il souhaitait en faire une histoire qui a mûri pendant près de 3 ans avant d’être finalisée : « un thriller politique alimenté par une réalité absurde », comme il aime le souligner.
Comment cette histoire a-t-elle été construite ?
« Au début, ce n’était qu’une nouvelle pour mon 4ème recueil de nouvelles. L’histoire d’une espèce de mante religieuse humaine qui séduit les jeunes femmes et en la relisant, j’ai réalisé qu’elle pouvait s’intégrer dans un ensemble plus vaste.
Ensuite, j’ai écrit le premier chapitre d’un roman sur une société éditant des jeux vidéo en immersion totale qui mettait à disposition des clients des sarcophages pour leur permettre de vivre des expériences folles dans une virtualité hautement augmentée. Le deuxième chapitre traitait d’un milliardaire qui voulait revivre la retraite de Russie de la grande armée de Napoléon Ier. Toutes ses fonctions biologiques étaient prises en charge par la machine et il pouvait tenir 48 heures sans avoir à faire aucune pose.
La troisième Source de l’histoire est venue de ma lecture assidue des romans de Qiu Xiaolong et Eliot Pattison. J’y ai acquis une connaissance approfondie des triades, des mafias chinoises et des services de sécurité de l’État chinois.
Finalement, un jour, un article de presse a tellement retenu mon attention que j’ai écrit un article à ce sujet et pris cette information en main pour l’intégrer dans mon récit. Un laboratoire recherchait une centaine de jeunes femmes vierges pour des recherches sur le papillomavirus. Eh bien, soi-disant.
La dialectique du bien contre le mal nourrit la littérature de réalité dramatique
Cette dualité alimente mon roman.
Le trafic d’êtres humains et d’organes est une réalité évidente. Chaque minute, chaque heure, chaque jour, chaque mois dans le monde, un drame se joue, un être humain est réduit en esclavage, des prélèvements illégaux d’organes ont lieu.
Il y a de plus en plus de centenaires, les sciences génétiques évoluent constamment, mais il n’existe toujours pas d’êtres immortels, hormis peut-être les tardigrades. Pourtant, depuis la nuit des temps, les êtres humains ont voulu trouver la recette de l’immortalité.
Crocq en vie parle de ça et des dégâts, des drames et des dérives que cela provoque. Tout pour un, tout pour permettre d’être milliardaire, tout-puissant et d’acquérir l’immortalité.
« Le père du président de la République au centre d’un scandale d’État, d’un complot international ? Un service secret très, très officieux, de l’Élysée qui joue son propre jeu, même contre les intérêts nationaux et internationaux ? Un Maire de la Capitale en lutte contre le Président de la Région Île de France, des milliardaires qui ont besoin de transfusions de sang vierge pour accéder à l’immortalité ? Un jeune scientifique attrapé par une mante religieuse assoiffée d’amour éternel ? Tout cela et bien plus encore, avec des coups sales, des massacres joyeux et des rebondissements dramatiques. Bref, juste de quoi fouetter un chat.
Les personnages sont aussi importants que l’histoire, en fait ils sont l’histoire de l’histoire. »
Il y aura sans doute une suite…
Trois options s’offrent aux lecteurs : ebook, relié, broché
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JL Pradines