Ce livre, confie-t-il, « est une plongée dans les sentiments d’un enfant qui ouvrait les yeux sur un petit village perché et qui, à chaque coucher de soleil, rêvait de ce qu’il y avait au-delà des collines d’en face, pour saisir les fils de nombreux instants de joie. et la douleur, et de s’attarder sur des événements éphémères qui incarnent un défi à la cruauté du passé. »
Philosophie, poésie, musique
« Une enfance sans pluie » compte 152 pages et son corps narratif est composé de 24 sous-titres. Tous ces passages, constatons-nous chez les différents intervenants, ont un sens profond et portent une saveur philosophique, qui constituent en eux-mêmes l’objet d’une lecture analytique de la référence intellectuelle de l’auteur d’Anna Karénine (Léo Tolstoï), d’autant plus qu’il accompagne chaque sous-titre avec une brève citation d’une personnalité célèbre pour sa contribution riche et distinguée dans les domaines de la littérature, de la poésie, de la philosophie, des sciences, de la politique, des arts et de la musique. Parmi ces personnalités figurent Jalal Al-Din Al-Rumi, Naguib Mahfouz, Abbas Mahmoud Al-Akkad, Tawfiq Al-Hakim, Mahmoud Darwish, Muhammad Al-Maghout, Wassini Al-Araj, Confucius, Isaac Newton, Albert Einstein, Mahatma Gandhi, Bernard Shaw, Dostoïevski, Albert Camus et Helen Keller et Van Gogh… A noter que l’écrivain Idriss Lakrini, professeur de droit et de relations internationales à la Faculté de droit de l’Université Cadi Ayyad et président de l’Organisation Action Maghreb, en est membre. du conseil consultatif d’un magazine de lecture publié par l’Académie arabe du Danemark.