Bonne « Fortune » de Catherine Safonoff

Bonne « Fortune » de Catherine Safonoff
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Publié le 4 avril 2024 à 18h48 / Modifié le 5 avril 2024 à 10h15.

“Hier, je suis allé chez le coiffeur à cause de toi.” Catherine Safonoff fume, assise à sa table de cuisine. « Elle est située à Nangy. Elle fait Mesdames, Messieurs, Enfants. Ça va vite, ne tardez pas. Un chien ouvre tout seul la porte de son petit appartement, de l’extérieur. Un vieux coq aimerait aussi entrer. Toute une ménagerie aimerait assister à l’entretien.

Cela fait presque trois ans que Catherine Safonoff a quitté Genève pour la France voisine. Elle a dû quitter la maison qu’elle aimait, dans le quartier de Conches, pour aller vivre avec sa fille et son gendre, à Boignes, village non desservi par les transports en commun, à proximité d’un panneau mystérieux annonçant, digne d’un oracle : « La fin en haut. C’est ce qu’elle dit, entre autres coups du sort, dans La richesseson dernier roman.

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