« Seule l’AfD peut sauver l’Allemagne. » Cinq petits mots écrits sur sa plateforme X (anciennement Twitter) qui en disent long sur les sympathies d’Elon Musk pour l’extrême droite et les partis xénophobes.
Trois jours après l’attentat de Magdebourg, perpétré par un suspect qui ne semblait pas cacher son soutien à l’AFD, parti d’extrême droite, cette prise de position de celui qui devrait diriger une administration vouée aux coupes budgétaires sous le mandat de Donald Trump Ce mandat, qui débutera le 20 janvier, a suscité une vive réaction de la part du commissaire européen français chargé du marché intérieur, Thierry Breton.
«Quelques semaines avant les prochaines élections en Allemagne et au moment de l’attentat odieux de Magdebourg, Elon Musk – le plus grand influenceur mondial sur X et membre potentiel de la future administration américaine – soutient ouvertement le parti d’extrême droite AfD. N’est-ce pas la définition même de l’ingérence étrangère ? Nous devons mettre fin aux « doubles standards » et appliquer le #DSA en Europe.»
Une réponse à l’homme le plus riche de l’histoire écrite par Thierry Breton sur les fake news. Cela est d’autant plus vrai que des élections législatives sont prévues en Allemagne le 23 février.
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Et le tweeter compulsif Elon Musk n’a pas pu s’empêcher de répondre : “Frère, “l’ingérence américaine” est la seule raison pour laquelle tu ne parles ni allemand ni russe aujourd’hui, à mon avis”, a répondu le patron. de X, faisant allusion au débarquement américain en Europe pendant la Seconde Guerre mondiale.
Une bataille très numérique alors que le réseau social rappelle BFM TV.
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