Alger alimente le conflit des généraux au Soudan pour le bon œil de l’Iran

Alger alimente le conflit des généraux au Soudan pour le bon œil de l’Iran
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Alors que certains pays cherchent à éteindre la « guerre des généraux » au Soudan, un conflit qui dure depuis plus d’un an entre différentes factions militaires, l’Algérie semble préférer jeter de l’huile sur le feu.

En effet, alors que plusieurs pays dans le monde tentent de mettre fin aux événements meurtriers qui ravagent le Soudan, les belligérants de l’armée soudanaise dirigée par le général Abdel Fattah al-Burhan et des Forces de soutien rapide dirigées par le général Mohammed Hamdan Dagalo, également connu sous le nom de Les « Hemedti » mènent une guerre sans fin pour le pouvoir.

Dans ce contexte, il semblerait que l’Algérie et l’Iran aient plutôt opté et parié sur la prolongation de ce conflit, en s’y investissant corps et âme. Le site « Military Military », spécialisé dans les affaires militaires, rapporte que le régime militaire sénile d’Alger s’apprête à fournir gratuitement à l’armée du général Burhan des avions de combat russes de type « MiG-29 », avec l’aide financière du régime iranien. , qui soutient à son tour l’armée soudanaise dirigée par le général Abdel Fattah al-Burhan.

Cette assistance, qui s’est récemment intensifiée, suscite des inquiétudes et des inquiétudes dans plusieurs pays, notamment aux États-Unis, car elle réduit les chances de trouver une solution politique à la difficile situation sécuritaire, politique et humanitaire au Soudan et dans la région.

Ce même site a également indiqué que « cette préférence stratégique d’un camp à l’autre poussera l’armée soudanaise dirigée par al-Burhan à se rapprocher de l’Algérie, compte tenu notamment de son partenariat avec la République islamique d’Iran et de leur intérêt commun pour les technologies militaires, notamment bien sûr des drones dont on a pu constater récemment « l’efficacité ».

Certains observateurs estiment que cette éventuelle aide militaire algérienne révèle l’engagement du régime algérien dans les conflits régionaux et au service de l’agenda de Téhéran dans les régions arabe et africaine, menaçant ainsi la sécurité et la stabilité régionales et franchissant les frontières sur le plan sécuritaire et militaire.

Mais au-delà des discours officiels et des justifications diplomatiques, difficile de ne pas voir dans cette décision une manœuvre visant à consolider les alliances régionales du régime des capos d’Alger, quitte à alimenter un conflit déjà meurtrier. Après tout, quoi de mieux qu’une bonne guerre pour renforcer les relations internationales ?

Cette décision risque de se retourner contre lui, car proposer des avions de combat est une chose, mais gérer les conséquences d’un conflit prolongé en est une autre. Aussi, dans un contexte de polarisation régionale, l’Algérie se retrouve au cœur d’une polémique suite à son implication présumée dans le conflit en cours au Soudan. L’objectif? Soutenez l’armée soudanaise dirigée par le général al-Burhan en lui fournissant des avions de combat russes « MiG-29 » grâce à l’argent iranien.

Cette implication dans le conflit soudanais comporte des risques pour le régime belliciste sénile d’Alger. C’est une décision qui intervient dans un contexte de rivalité entre axes régionaux. En rejoignant l’axe iranien, quitte à risquer sa survie politique, l’Algérie cherche à contrer l’influence occidentale en Afrique du Nord et de l’Est. Cette stratégie vise à prolonger le conflit au Soudan afin de perturber les objectifs de sécurité occidentaux dans la région.

Un militant et opposant politique algérien a déclaré à Hespress que cette décision révèle l’échec du régime algérien à jouer un rôle constructif dans la résolution des crises régionales. En effet, incapables de se positionner efficacement face à des crises de plus en plus nombreuses, les séniles du show Muppets made in Algérie semblent préférer s’engager dans des alliances militaires risquées alors même que le show n’en vaut guère la peine.

Une initiative, selon l’interlocuteur d’Hespress, qui s’inscrit également dans une tentative de réponse aux Émirats arabes unis, régulièrement critiqués par le président algérien, dont le nom est à peine cité, et les médias locaux à sa solde. En se tournant vers l’Iran, qui soutient activement le général al-Burhan au Soudan, Alger tente de consolider ses liens avec Téhéran et d’affirmer son influence dans la région.

Mais cette manœuvre n’est pas sans conséquences. En soutenant l’une des parties au conflit soudanais, l’Algérie risque de compromettre la stabilité régionale, voire sa propre sécurité. En fait, le régime algérien apparaît désormais comme une menace pour la stabilité des pays arabes et africains, devenant ainsi un pion entre les mains de l’Iran pour déstabiliser la région et ouvrir de nouveaux fronts de confrontation avec l’Occident.

Cette implication dans le conflit soudanais comporte des risques pour le régime totalitaire d’Alger. C’est une décision qui intervient dans un contexte de rivalité entre axes régionaux. En rejoignant l’axe iranien, l’Algérie cherche à contrer l’influence occidentale en Afrique du Nord et de l’Est. Cette stratégie de type boomerang vise à prolonger le conflit au Soudan afin de perturber les objectifs de sécurité occidentaux dans la région.

 
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