« Les déserts médicaux en ville, on en parle moins, mais c’est une réalité »

« Les déserts médicaux en ville, on en parle moins, mais c’est une réalité »
« Les déserts médicaux en ville, on en parle moins, mais c’est une réalité »

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Un rapport de 2021 montre que les quartiers du Breil et de la Bottière sont presque deux fois moins bien équipés en médecins que le reste de la métropole. « Dans les quartiers populaires, on a les mêmes difficultés à trouver un médecin que dans certains villages », a récemment déclaré le maire de Nantes.

La mairesse Johanna Rolland lors de l’inauguration du centre de santé Breil. | PHOTO DE PRESSE OCEAN-RC


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  • La mairesse Johanna Rolland lors de l’inauguration du centre de santé Breil. | PHOTO DE PRESSE OCEAN-RC

Une étude de démographie médicale réalisée en octobre 2021 par l’ORS (Observatoire régional de santé) à la demande de la ville de Nantes avait montré que la densité de médecins libéraux à Nantes dans les quartiers dits prioritaires (QPV) était très inférieure à celle des médecins libéraux. la moyenne observée en zone urbaine.  Ils comptent 49 médecins pour 100 000 habitants, contre 93 en moyenne sur l’ensemble de la métropole nantaise. » a rappelé l’an dernier en conseil municipal, la maire de la ville Johanna Rolland.

Cette étude révèle que le nombre de praticiens a fortement diminué (-30%) depuis 2016 suite aux départs à la retraite des médecins généralistes : Dans les quartiers populaires de la métropole, on a les mêmes difficultés…

 
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