Du 9e au 16e arrondissement, ces lieux de Paris où a vécu le chanteur

Du 9e au 16e arrondissement, ces lieux de Paris où a vécu le chanteur
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Par

Thomas Martin

Publié le

16 juin 2024 à 6h34

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Décédée mardi 11 juin 2024 à l’âge de 80 ans, à Paris, Françoise Hardy a vécu toute sa vie à Paris où elle est née. Retour dans les lieux où elle a vécu dans la capitale depuis sa naissance à la clinique Marie-Louise, ville Malesherbes, dans le 9e arrondissement jusqu’à sa mort.

Une enfance dans le 9ème arrondissement

Le père de Françoise Hardy, Étienne Dillard, directeur d’une usine de machines à calculer, était marié à une autre femme. Il sera rarement présent, oubliant souvent de payer la pension alimentaire ou les frais de scolarité. Il ne reconnaîtra Françoise et sa sœur cadette Michèle que plusieurs années plus tard.

Les deux enfants ont donc été élevés par leur mère, Madeleine Hardy, célibataire et comptable, dans la confidentialité d’un deux pièces de la rue d’Aumale (9e arrondissement). Les deux sœurs passent leurs week-ends à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), chez leurs grands-parents maternels.

Comme rappelé Magazine AD, Françoise Hardy devient indépendante au moment de sa rencontre avec Jean-Marie Périer. Elle achète ensuite son premier appartement : un studio mansardé au 8, rue du Rocher (8e). En 1970, alors qu’elle est en couple avec Jacques Dutronc, elle le vend pour s’installer dans un appartement au 10, rue Saint-Louis-en-l’île.

Une maison du 14ème arrondissement avant l’avenue Foch

En 1974, après la naissance de Thomas, le couple s’installe dans le 14e arrondissement, dans le quartier de la Petite Montrouge. « Cette maison qui s’étend sur trois niveaux est une maison confortable sans luxe excessif. Les murs et les plafonds sont peints en noir et chaque étage est occupé par un membre de la famille », décrit Magazine AD.

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Françoise Hardy en 1980 dans sa maison du 14e arrondissement de Paris (©ACE)

Le couple quittera alors le quartier pour le 16e arrondissement. Ils habitaient au 50 avenue Foch, adresse de l’ancien Palais Rose, l’un des plus beaux hôtels particuliers de la capitale. La chanteuse Françoise Hardy y possédait un triplex qui fut ensuite revendu « pour des raisons fiscales ». Chacun y vivait à son étage. « C’est très pratique d’avoir chacun son étage, confiait-elle dans un entretien au journal Le Soir, car nous n’avons pas les mêmes relations, les mêmes amis. »

La chanteuse a passé ses dernières années boulevard Suchet, toujours dans le 16e arrondissement, non loin du bois de Boulogne.

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