Black Widows – Épisode 1 : Soupçons – Épisode 1 : Les femmes fatales Edwige Alessandri et Fatima Anechad sont deux femmes que tout pouvait opposer, mais qui ont suscité les mêmes doutes et les mêmes suspicions car elles incarnent deux archétypes de la femme fatale et venimeuse. Si Edwige était de la glace, Fatima serait sans doute du feu. La première est décrite comme une bourgeoisie hautaine, froide, calculatrice et machiavélique. La seconde est accusée d’être une femme intéressée qui a utilisé ses charmes pour séduire, manipuler, profiter, tromper… et assassiner. Au cours de l’enquête et de l’enquête, ils ont dérangé, déconcerté et déstabilisé tous ceux qui les ont approchés. Après six ans d’enquête, trois procès pénaux et une peine de dix ans de prison, Edwige Alessandri est libre, mais elle se bat aujourd’hui pour faire reconnaître son innocence. Fatima Anechad est restée à la disposition de la justice pendant les douze années d’enquête, mais elle a fui la France pour se réfugier au Maroc juste avant son procès. Condamnée par contumace à vingt ans de détention, elle vit confortablement entre Marrakech et Agadir.
Épisode 1 : Les femmes fatales
Edwige Alessandri et Fatima Anechad sont deux femmes qui pourraient s’opposer à tout, mais qui ont suscité les mêmes doutes et suspicions car elles incarnent deux archétypes de la femme fatale et de la femme venimeuse. Si Edwige était de la glace, Fatima serait sans doute du feu. La première est décrite comme une bourgeoisie hautaine, froide, calculatrice et machiavélique. La seconde est accusée d’être une femme intéressée qui a utilisé ses charmes pour séduire, manipuler, profiter, tromper… et assassiner.
Au cours de l’enquête et de l’enquête, ils ont dérangé, déconcerté et déstabilisé tous ceux qui les ont approchés. Après six ans d’enquête, trois procès pénaux et une peine de dix ans de prison, Edwige Alessandri est libre, mais elle se bat aujourd’hui pour faire reconnaître son innocence. Fatima Anechad est restée à la disposition de la justice pendant les douze années d’enquête, mais elle a fui la France pour se réfugier au Maroc juste avant son procès. Condamnée par contumace à vingt ans de détention, elle vit confortablement entre Marrakech et Agadir.