notre critique de Grand Tour, de Miguel Gomes, ennuyeux et enfumé

notre critique de Grand Tour, de Miguel Gomes, ennuyeux et enfumé
notre critique de Grand Tour, de Miguel Gomes, ennuyeux et enfumé

CRITIQUE – Le réalisateur portugais Miguel Gomes étonne avec un mélodrame voyageur prétentieux, sans aventures ni personnages. En compétition.

« Les Américains sont les meilleurs pour raconter des histoires » a déclaré Jean-Luc Godard. Tandis que la caravane yankee passait sur la Croisette avec son troupeau de stars hollywoodiennes, on peut contester l’adage godardien. Mégalopole prouve que Coppola ne sait plus raconter une histoire. Mais l’emballage Anorapar Sean Baker, prouve le contraire (lire nos éditions d’hier). Bien que cela Une jolie femme La version des frères Coen ou des frères Safdie ne tient pas avec une intrigue liée. Il porte tout avec une énergie folle qui contamine ses personnages. Après cela, le grande tournée du Portugais Miguel Gomes ressemble à un diaporama lent, sans aventures ni personnages.

Gomes s’est fait un nom avec Tabou, Ours d’Argent à la Berlinale 2012, un mélodrame captivant sur fond de guerres coloniales portugaises. Son prochain long métrage, Les mille et une nuitsétait une œuvre en trois volumes, boudée au Festival de Cannes par la compétition et reprise par la Quinzaine des cinéastes, qui a fait hurler…

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