Par
Laurent Derne
Publié le
17 décembre 2024 à 16h02
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UN arrestation mouvementée. Dans la nuit du dimanche 15 décembre au lundi 16 décembre 2024, vers 2h30, un automobiliste je pensais qu’il était Lewis Hamiltonconfondant le quartier Saint-Georges, à Toulouse, avec Silverstone, l’un des circuits les plus rapides de la saison de F1.
“Il roulait très vite”
En Formule 1, en cas de problème, la FIA tire des commissaires et des drapeaux rouges pour neutraliser la course. Sur la voie publique, Policiers de la BST (brigade spécialisée de terrain, NDLR) ont activé le gyrophare et deux tonalités pour arrêter le conducteur. Mais cela ne suffisait pas.
« Il conduisait à une vitesse très rythme vif et a refusé de se soumettre au contrôle, au point de percuter volontairement le véhicule de police », relate une source policière deActualités toulousaines. L’homme indomptable s’est alors barricadé dans l’habitacle, vivant entièrement idée de reddition comme un échec notoire.
Ivre, sans permis ni assurance
«Les collègues ont dû l’extraire main militaire. Il s’est rebellé”, explique notre source. Son comportement résulte sans doute d’une subtile combinaison entre imprégnation et antécédents de cette homme de 27 ans : il sentait l’alcool – « mais refusait tout dépistage » – et circulait “sans permis et sans assurance”.
Une fois dégrisé, il n’aurait pas reconnu avoir heurté intentionnellement la voiture de police. A la fin de son garde à vue (prolongée), elle a été renvoyée lundi 16 décembre 2024 à Parquet toulousainet « placé dans détention provisoire »selon une source policière. En attente d’être jugé en comparution immédiate, mercredi 18 décembre, par le tribunal correctionnel de Toulouse.
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