Double champion du monde de Formule 1 en 2005 et 2006 avec Renault, Fernando Alonso diviserait son numéro de titulaire par deux en échange d’un titre mondial supplémentaire.
Ce week-end, à l’approche du Grand Prix des États-Unis, Fernando Alonso est revenu sur sa carrière, alors qu’il s’approche du cap des 400 engagements en F1. Une longévité record puisque le natif d’Oviedo en est actuellement à sa 21e saison de Formule 1. Il se passerait cependant bien de cette statistique et préférerait avoir plus de titres mondiaux à son actif.
“J’adorerais faire la moitié des 400 courses et gagner un championnat de plus», a déclaré Fernando Alonso.
Revenant sur ce nombre impressionnant de départs, il a déclaré : «C’est évidemment bien, et je reconnais le chiffre, mais certaines de ces statistiques ne vous intéressent pas vraiment.»
Pour Fernando Alonso, cette longévité est une preuve de son «l’amour du sport et de la discipline que j’essaie d’appliquer à un très haut niveau depuis plus de 20 ans.»
Si le pilote espagnol semble infatigable, il assure néanmoins qu’il n’atteindra évidemment pas le cap des 800 courses, mais s’accorde encore quelques saisons… peut-être pour remporter un titre de plus ?
“Je n’attends pas avec impatience les 400 prochains, car cela n’arrivera jamais, mais au moins 40 ou 50 de plus au cours des deux prochaines années..»
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Des F1 plus confortables
Aujourd’hui âgé de 43 ans, Fernando Alonso nous explique quelles sont les zones du corps les plus utilisées aujourd’hui en F1. “Ce n’est pas bon pour le dos, pour le cou, pour la colonne vertébrale.» En ajoutant cependant que la technologie a rendu les voitures de F1 plus confortables. “Je pense que la technologie en Formule 1 a également changé dans le passé et je pense que les voitures sont désormais un peu plus conviviales pour le pilote.
“La seule partie physiquement stressante ou exigeante du week-end est normalement la qualification, et elle est très courte.», a ajouté le pilote Aston Martin. “Ce n’est donc pas un problème de suivre le rythme des jeunes en termes de condition physique. C’est plus mental que ça arrive.»
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