Bruce Toussaint a animé une nouvelle édition de Bonjour ! ce mardi 29 octobre 2024. La matinale de TF1, dont les équipes ont été remaniées, a été rythmée par la présence de Gilbert Montagné.
L’inoubliable interprète deNous nous aimeronsr est venu assurer la promotion deOn chante, on danse avec Gilbert Montagné. Sur cet album, il reprend des comptines pour enfants. Après être revenu sur la genèse de son tube Les rayons du soleil des tropiquescelui qui a révélé une ombre sur la photo des Jeux Olympiques de Paris 2024 a été invité à revenir sur son parcours.
“Je vous suggère de regarder…” : Inconfort dans Bonjour ! after a mistake by Bruce Toussaint on Gilbert Montagné
Bruce Toussaint rapporte que les parents de Gilbert Montagné l’avaient inscrit dans une école spécialisée pour aveugles. “Vous y avez suivi une formation musicale et dans l’émission de TF1, Echos de stars, en 1996, vous êtes revenu sur scène”a-t-il dit à son invité avant de provoquer un malaise sur le plateau. Alors que Gilbert Montagné est aveugle, il ajoute : “Nous regarderons ces archives ensemble“.
Après la diffusion de l’extrait en question, l’animateur, dont le fils Noé est rappeur, s’est empressé de corriger sa maladresse. « Pardon Gilbert ! J’ai dit “regardons ensemble”, ce qui est un peu stupide…“il déclara à son invité qui rétorqua : « Non, pas du tout ! Ce n’est pas stupide du tout ! Je regarde à ma manière, mais je regarde. J’ai une vision qui est moins connue, elle n’a pas eu la promotion qu’elle a eue. j’ai le tien, c’est tout ! Je pense que je vois très bien..
« Est-ce que ce qui s’est passé dans cette école est encore un souvenir marquant pour vous ?» a ajouté Bruce Toussaint. L’invité de Bonjour ! a répondu par l’affirmative. « Très présent, bien sûr. Ce fut le début de ma rencontre avec le piano et la musique. C’est vrai que j’ai eu des problèmes. En dehors de mes études classiques, je jouais de la soul, du rythm and blues… Et c’était très réprimandé à l’époque… »a-t-il précisé.
« Il y avait un couloir avec des cellules de piano. Il les appelait « cellules de piano »… Il y avait des portes vitrées et dès qu’ils nous entendaient jouer autre chose que ce que nous étions censés jouer à l’étude, nous étions coincés… Sauf que j’avais les surveillants dans ma poche. J’ai joué toutes les chansons qu’ils voulaient. Ils m’ont laissé tranquille !a conclu le chanteur.