Laure Federiconi explore notre quête insatiable pour s’améliorer

Laure Federiconi explore notre quête insatiable pour s’améliorer
Laure Federiconi explore notre quête insatiable pour s’améliorer

Publié le 24 janvier 2025 à 20h21 / modifié le 24 janvier 2025 à 22h04

5 minutes. en lisant

La bonne vie se déroule entre Paris, Lausanne et les Pouilles. «Je suis nu et je mange du guacamole. Je suis précisément allongé dans un coin sombre, fixant les travailleurs qui sont occupés dans le petit parc en face. Leur look n’a pas d’importance pour moi. Mes voisins doivent se lasser de mes voyages nus à la bouilloire pour le thé. Je ne me montre pas – je me dissocie juste.

C’est ainsi que le premier roman de Laure Federiconi commence. Le narrateur ne va pas très bien. En rafales, nous suivons ses pensées qui vont de son salon où les plantes meurent systématiquement à ses vacances d’enfance près de Lecce, aux séances avec plusieurs psychologues, au yoga, à la librairie de son quartier et à son travail dans une librairie, développement personnel de développement personnel département.

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