Citroën, Seat, BMW… Quelles voitures sont concernées par les dangereux airbags de Takata ?

Citroën, Seat, BMW… Quelles voitures sont concernées par les dangereux airbags de Takata ?
Citroën, Seat, BMW… Quelles voitures sont concernées par les dangereux airbags de Takata ?

Les automobilistes, notamment ceux étrangers, sont invités à vérifier la marque des airbags de leur voiture et à les faire remplacer si nécessaire. Un nouveau rappel a été lancé en début d’année.

La marque Takata est au cœur d’un rappel consommateur du ministère des Transports. Il appelle notamment les résidents d’outre-mer à vérifier le nom du fournisseur d’airbags et à procéder à un changement, soutenu par les constructeurs.

Un demi-million de véhicules français sont concernés par les dangereux airbags de la marque japonaise Takata. Le ministère des Transports a signalé un rappel consommateur pour ces airbags responsables d’accidents mortels dans le pays.

Une vingtaine de constructeurs sont concernés, comme Citroën, BMW, Seat, Mazda et Mercedes. Sur les 15 accidents provoqués en en 2024, 14 se sont produits à l’étranger. La raison ? Leur danger est accentué par les climats humides et chauds, comme dans les îles.

Comment faire ?

La campagne concerne les véhicules construits entre 1998 et 2019. Vous devez être en possession de votre numéro d’identification de véhicule (VIN) de 17 caractères figurant sur le certificat d’immatriculation et la carte grise.

Sur le site officiel prévu à cet effet et disponible ICI, vous pouvez saisir le numéro VIN et retrouver la marque du véhicule. S’il est concerné par ce rappel de consommation, “il est indispensable d’intervenir”, prévient le ministère des Transports. Vous devez vous adresser à un mécanicien ou un concessionnaire qui changera gratuitement les airbags.

Cette procédure n’est pas obligatoire mais la campagne rappelle « le risque » pris en cas de non-remplacement. Certains airbags défectueux avaient provoqué des accidents mortels.

France
Entreprise

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV Quatre fournisseurs étrangers n’ont pas encore finalisé leur inscription fiscale
NEXT Twitter, Facebook, Instagram… La fin d’une époque