Conformément à l’objet de cette rubrique, il n’y a (presque) aucun lien entre les sujets du jour. C’est donc parti pour les élections (mais pas celles qu’on croit), les gens qui ont réussi à gagner de l’argent en pariant contre Nvidia (mais pour plus longtemps), les sommets et le skin growing.
NVADIA
Les vendeurs à découvert de Nvidia ont potentiellement engrangé près de 5 milliards de dollars de bénéfices grâce à la forte baisse des actions du concepteur de puces IA jeudi, vendredi et lundi, selon les scores d’Ortex Technologies. Une éclaircie pour les fonds baissiers, qui subissent le martyre sur la question depuis des mois. Pourtant, le timing était important : le net rebond du titre hier a probablement emporté ceux qui avaient laissé couler leurs gains.
Effet secondaire
Bloomberg a publié un article sur le boom des chirurgies esthétiques cutanées qui survient après la perte de poids associée aux médicaments anti-obésité de Novo Nordisk et Eli Lilly. L’information n’est pas nouvelle, mais elle confirme une source de valeur secondaire pour les investisseurs cherchant à profiter de la tendance de fond de ces traitements. Une société comme Galderma, qui figure parmi les leaders des injectables, semble particulièrement bien placée pour emboîter le pas à Novo et Lilly. Nous avons récemment présenté ces atouts.
Baby blues
L’élection présidentielle de 2024 aux Etats-Unis sera marquée par une grosse nouveauté générationnelle : pour la première fois depuis 30 ans, les baby-boomers ne seront pas majoritaires. Ils seront environ 50 millions, contre 65 millions d’électeurs issus de la génération Z et des millennials (également appelés génération Y). Les dates des grands groupes générationnels peuvent varier un peu, si j’en crois ce que j’ai lu, mais on peut diviser grossièrement la période d’après-guerre ainsi :
- 1946 / 1964 : les baby-boomers
- 1965 / 1980 : génération X
- 1981 / 1996 : génération Y (ou millennials)
- 1997 / 2012 : génération Z
- 2013 : Génération Alpha
NB : chaque génération croit que la suivante est composée de paresseux et de bons à rien.
Étoiles européennes
Le petit tableau périodique des ATH (plus hauts historiques) du jour :
