Trente ans plus tard, les « oubliés de Clabecq » réclament leur dû

En 1992, les salariés des Forges acceptent une baisse de salaire de 10 % et abandonnent leur 13e mois sous forme de prêt à leur entreprise. La faillite de ces derniers les a privés de remboursement. Les indemnisations sur les terrains situés à Vilvorde doivent fournir à la curatelle suffisamment pour les rembourser. Mais l’Etat belge, également créancier des Forges, souhaite être indemnisé en priorité. D’anciens ouvriers ont manifesté ce dimanche.


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Journaliste au département Economie

Par Pascal Lorent

Publié le 02/06/2024 à 17h44
Temps de lecture : 3 minutes

Drôle de cortège et de destination amusante, ce dimanche après-midi, au départ (en train) de la gare de Schaerbeek. A l’appel du collectif « Cels de Clabecq », une centaine de manifestants, soutenus par d’autres associations, ont rejoint le parking de la Slachthuisstraat à Vilvorde. Il existe un chantier, objet de nombreuses convoitises et d’un dernier espoir d’être remboursé pour les anciens ouvriers des Forges de Clabecq, une appellation qui remonte à près de trente ans.



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