Au Canada, la province de l’Alberta refuse de former un front uni contre Donald Trump

La première ministre de l’Alberta, Danielle Smith, participe à distance à la réunion des dirigeants provinciaux et territoriaux à Ottawa, Ontario, Canada, le 15 janvier 2025. BLAIR GABLE / REUTERS

Donald Trump n’a pas agi dès le premier jour de son second mandat pour imposer des taxes de 25 % sur les importations canadiennes et mexicaines, une promesse réitérée depuis le 25 novembre. Mais, dans la soirée, lundi 20 janvier, il a annoncé qu’il comptait les faire démarrer à partir du 25 novembre. 1er janvierest FÉVRIER. Le nouveau président américain a également demandé aux agences fédérales, dans une note citée par Reuters, de « s’attaquer aux pratiques commerciales et monétaires déloyales des autres pays ».

En réponse, ce mardi 21 janvier, le premier ministre du Canada, Justin Trudeau, a réitéré que la réponse canadienne serait “robuste” et que l’objectif est de supprimer ces tarifs “le plus rapidement possible”. Il a également réitéré les liens forts qui unissent les deux économies, et a suggéré que si Donald Trump veut vraiment un nouveau “l’âge d’or” d’Amérique, il lui faudra des ressources canadiennes.

Depuis près de deux mois, le gouvernement canadien cherche la réponse appropriée aux probables attaques du républicain. La semaine dernière, Ottawa a encore affiné la liste des produits américains qui pourraient être concernés par une première réponse, si Donald Trump déclenchait une guerre commerciale. Et Doug Ford, premier ministre de l’Ontario, portait une casquette bleue, en réponse à la célèbre casquette rouge arborant le slogan «MAGA» du président américain, où l’on pouvait lire : « Le Canada n’est pas à vendre. »

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