“Je n’aime pas les séries policières, mais j’ai aimé ce personnage humain d’Erica”

Julie de Bona est l’héroïne d’Érica, une nouvelle série de TF1 inspirée des romans à succès de Camilla Läckberg. Une série policière, mais aussi un portrait touchant d’une femme moderne, divorcée et auteure de thrillers à succès.

Une nouvelle héroïne d’une série policière sur TF1. Cette fois, c’est une romancière, auteure de thrillers. Elle s’appelle Erica. Femme divorcée qui retourne dans sa région d’origine dans les Landes et, comme Audrey Fleurot dans HPI (la femme de ménage qui a mis son nez dans les enquêtes), va s’incruster dans le travail d’un commissaire et tenter de mettre son sens du polar à son service. Cette nouvelle série, Éricaest en fait l’adaptation de romans nordiques à succès par une ancienne comptable Camilla Läckberg (La princesse des glaces, Le prédicateur, Le tailleur de pierreetc.)

Plus que l’aspect série policière, c’est le personnage moderne d’Erica qui a intéressé celle qui l’incarne, Julie de Bona : « Il y a beaucoup de séries policières, et je ne suis pas forcément fan des thrillers. En revanche, je suis vraiment tombée sous le charme du personnage d’Erica. J’ai l’impression que je ne vais pas m’ennuyer avec elle. Elle est très humaine, elle est très proche des gens et elle nous ressemble. D’ailleurs, Camilla Läckberg dit qu’Erica c’est elle.

Julie de Bona est fraîche dans ce personnage qui évoluera au fil des soirées, comme dans les romans de Camilla Läckberg. Cela ravit l’actrice : « Ce n’est pas une série linéaire, plutôt une collection de courts métrages avec de véritables ellipses entre chaque soirée, autour du couple. Le deuxième soir, elle arrive enceinte de 4 mois et Patrick l’ignore. Le troisième soir, nous allons parler du baby blues. Ce sont des choses plus intimes à chaque fois. On est vraiment captivé par les personnages et le couple. J’espère qu’un côté humain émergera.

Avec Érica, on est loin des ambiances sombres et pluvieuses des thrillers scandinaves. La série est tournée dans les Landes à Hossegor, et gagne en couleur. Julie de Bona est ravie : « Coloré, ce n’est pas mal aussi. En fin de compte, nous sommes complètement différents des Nordiques, mais il valait mieux décider. Nous sommes dans un monde mouvementé, venteux, coloré et élégant et ludique et ensoleillé. Il y a du drame et de l’humain, mais il y a aussi un côté bonbon aigre-doux.

Éricaun thriller rafraîchissant avec une Julie de Bona pétillante, à voir sur TF1.