Dijon. Cette nouvelle brasserie japonaise propose des plats typiques à moins de 4 euros

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Un vent de nouveauté souffle pour amateurs de bonnes adresses dijonnaises : les établissements Ramen by Origine, connus à Ahuy et Dijon place de la République, changent d’identité pour devenir Ittshin.

Ittshin izakayale restaurant dijonnais, prendra ses quartiers ce mercredi 18 décembre au numéro 4 boulevard Clemenceau, dans les anciens locaux de Malto.

Une nouvelle identité

Le changement de nom et de concept de marque une nouvelle étape pour Krystina Piron et ses associés, à l’origine du projet. Déjà connus pour leur savoir-faire en cuisine japonaise, ils recentrent leur activité sous une seule marque, Ittshinavec deux variantes :

• Ramen démangeaisons pour les deux établissements existants à Ahuy et Dijon-République.
• Ittshin izakaya pour le nouveau restaurant du boulevard Clemenceau. Ce nouveau concept mettra à l’honneur les spécialités japonaises, notamment les onigiris et les currys japonais.

Une nouvelle adresse à prix abordables

Le restaurant offrira une ambiance conviviale, inspirée des izakayas, ces brasseries typiquement japonaises où l’on vient déguster des plats accompagnés de boissons dans une ambiance décontractée.

Avec 40 couvertsIttshin Izakaya proposera des tarifs attractifs : moins de 4 euros pour un onigiri et jusqu’à 15 euros pour un plat. Il sera ouvert du mardi au samedi, de 11h30 à 14h et de 18h30 à 22h.

La fin d’une collaboration avec Tomofumi Uchimura

L’ouverture de ce restaurant s’accompagne de la fin de la collaboration avec le chef étoilé Tomofumi Uchimurapourtant un pilier des deux établissements. Cette décision a été mûrement réfléchie après une relation de travail étroite et constructive : « Le chef Uchimura a apporté son nom et ses recettes. Il les a transmis à notre équipe, ce qui n’est pas rien ! » explique Krystina. « De notre côté, nous avons accompagné son lancement en mobilisant notre réseau : nous présenté notaire, associésaidé au recrutement et pris en charge la communication. Il venait d’arriver, il ne connaissait pas encore tous ces aspects, encore moins la langue. Il a pourrait compter sur nousd’autant que son visa exigeait une forme de garantie morale pour qu’il puisse se lancer. »

Cette séparation semble pourtant naturelle. « Aujourd’hui, il veut se concentrer pleinement sur l’obtention d’une deuxième étoile Michelin. Cela devenait compliqué pour lui de tout gérer en parallèle. C’était mieux Séparons-nous. Cependant, c’est une décision qui a été prise dès début 2024bien avant le scandale qui a éclaté récemment dans les médias», explique le dirigeant.

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