De nombreuses rumeurs et fausses listes circulent ces dernières semaines concernant l’affaire de Diddy, accusé d’avoir mis son empire musical au service d’un système violent de trafic à des fins d’exploitation sexuelle et d’extorsion, et dont le procès débutera en mai 2025. Parallèlement à la procédure pénale, le rappeur et producteur de 54 ans est également poursuivi au civil par plus de 120 victimes présumées, dont 25 mineures au moment des faits, qui l’accusent. d’agression sexuelle.
Dimanche, on a appris que le rappeur Jay-Z était accusé d’avoir violé, avec Diddy, une jeune fille de 13 ans lors d’une soirée organisée à la suite des MTV Video Music Awards en 2000. Shawn Carter, de son vrai nom, parle de « allégations odieuses ». Selon la plainte, « une autre célébrité est restée à côté et a regardé Combs et Carter agresser le mineur à tour de rôle. De nombreuses autres personnes étaient présentes à la fête, mais n’ont rien fait pour arrêter l’attaque.
Si la plaignante bénéficie, à sa demande, de l’anonymat, un autre témoignage est venu s’ajouter à ces soirées sordides. C’est celui d’Adria English, victime présumée de Diddy au milieu des années 2000, rencontrée par nos confrères de parisien.
« J’ai accepté de danser aux soirées de Diddy pour gagner de l’argent, avant d’être droguée et violée par lui et cinq invités », raconte-t-elle. « Je peux vous dire que Jay-Z et sa femme, Beyoncé, ont participé aux « freak offs » (orgies réservées aux connaisseurs). J’ai vu de mes propres yeux P. Diddy et Jay-Z abuser de très jeunes filles”, ajoute-t-elle. Cette fois, il semble que la boîte de Pandore soit ouverte.
