Le retour du Magicien d’Oz au cinéma, Hassan Hajjaj à Casablanca, les artistes du mythique Tanger… les sorties de la semaine – Telquel.ma

Fées et sorcières

Cinéma. Le monde du Magicien d’Oz revient enchanter les cinémas, avec l’adaptation de l’une des comédies musicales les plus célèbres de Broadway, Mal. Aux commandes de cette comédie musicale : le réalisateur Jon Chu, à qui l’on doit le phénomène Asiatiques riches et fous.

Ariana Grande incarne la fée Glinda, tandis que Cynthia Erivo incarne Elphaba, la méchante sorcière de l’Ouest à la peau verte, dans ce prequel en deux parties (le second sortira l’année prochaine) qui reprend l’intrigue du classique de Victor Fleming (1939) , mais aussi de l’univers du roman de Lyman Frank Baum (Le merveilleux pays d’Oz, 1900).

La Bonne Fée et la Méchante Sorcière de l’Ouest, deux jeunes femmes complètement opposées, se rencontrent à l’Université de Shiz et deviennent amies. L’une est populaire, l’autre est moquée pour sa couleur de peau inhabituelle. Leur amitié sera interrompue par la rencontre avec le Magicien d’Oz, et leurs aventures les amèneront à devenir respectivement la gentille fée du Nord et la méchante sorcière de l’Ouest : mais est-ce vraiment maléfique ?

Actuellement en salles.

Le retour du Hajjaj

Photographier. L’Atelier 21 accueille la deuxième exposition personnelle de l’artiste et photographe Hassan Hajjaj, « Fiq ! », du 10 décembre 2024 au 3 février 2025. Cette rétrospective met en avant les acrobates marocains, grâce à la collaboration entre le photographe et l’équipe du Groupe Acrobatique de Tanger. .

L’aventure commence en 2018 à Londres, lorsque Hassan Hajjaj rencontre Sanae El Kamouni, directrice artistique du groupe, et Maroussia Diaz Verbèke, réalisatrice. Ensemble, ils imaginent Fiq ! (Réveillez-vous !), un spectacle lancé en 2019 qui allie agilité et créativité, avec des décors et des costumes conçus par Hajjaj. De cette proximité naissent des photos vibrantes, témoins de l’énergie et de la virtuosité des artistes.

Du 10 décembre 2024 au 3 février 2025 à l’Atelier 21, Casablanca.

Nuances de Tanger

Exposition. Quelques années après son inauguration, la Villa Harris est devenue l’une des plus belles vitrines muséales de Tanger. Jusqu’en mars prochain, le musée propose une immersion dans l’histoire artistique de la ville du Détroit, à travers l’exposition “Tanger, la passion de la couleur”, qui explore la fascination des artistes et voyageurs européens pour la ville de la fin du XIXe et le début du 20e siècle.

De George Apperley à Terrick Williams, en passant par Enrique Simon et Lombardo, ces peintres ont capturé l’âme de Tanger : ses rues pittoresques, ses lieux emblématiques et ses habitants. Leurs œuvres rendent hommage à la beauté intemporelle et à l’énergie vibrante de la ville avec sa lumière unique, qui a tant inspiré les artistes et les inspire toujours.

Du 6 décembre 2024 au 15 mars 2025 à la Villa Harris, Tanger.

Les cordes gitanes

Concerto. Le groupe de jazz du Royal Symphony Orchestra célèbre Django Reinhardt, maître du jazz manouche, lors d’un concert exceptionnel. Le virtuose Georgii Iashagashvili, dédié à ce répertoire depuis plus de 20 ans avec son projet Django Friends, sera accompagné d’Ekaterina Perelygina à la contrebasse. Ils revisiteront les classiques de Reinhardt et d’autres chefs-d’œuvre du jazz, sous la direction artistique du chef d’orchestre Oleg Reshetkin.

Le 7 décembre à 20h, Théâtre Mohammed V, Rabat.

L’épopée de Shorty

Montrer. Propose la société Zahrabat, dirigée par Brahim Bouchelaghem Almatyune aventure poétique qui mêle théâtre d’objets, marionnettes et danse hip-hop. Ouvert à un jeune public à partir de 5 ans, le spectacle s’articule autour de Shorty, une héroïne plongée dans une épopée peuplée de personnages mystérieux.

11 décembre à 18h, Salle Bahnini, Rabat.

 
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