Les danses folkloriques étaient au centre de l’attention au Maroc lors de la 13ème édition du festival international « Entrerritmos ». Des troupes venues des quatre coins du monde ont célébré la diversité culturelle.
La manifestation souhaite préserver ses danses qui risquent de disparaître. Particulièrement suscitant l’intérêt de la couche jeunesse.
« C’est un festival international. Je pense que tout s’assemble et que nous représentons notre culture parce qu’elle perd de son élan. L’enthousiasme des jeunes pour la culture et la tradition est en train de disparaître. C’est pourquoi ce type d’événements encourage les jeunes à découvrir d’autres pays », explique Siddhesh Mestry, un participant indien.
Itza Marcor, un participant du Mexique, est du même avis. « Tout le monde est venu ici pour montrer un peu de son pays. Ainsi, je pense que nous pourrons trouver un peu d’unité et de paix dans le monde. Et je ne sais pas. Tout le monde est uni – je pense que cela envoie un message en soi.
Au-delà de l’unité, ce festival favorise le brassage des cultures à travers son caractère cosmopolite.
« Des festivals comme celui-ci sont très importants pour rencontrer de nouvelles cultures, d’autres peuples. Nous pouvons nous transmettre mutuellement les connaissances de nos groupes folkloriques. », Radovan Holub, de Slovaquie.
L’événement a réuni des groupes de danse folklorique de 11 pays, dont l’Irak, l’Espagne, le Sénégal et la Bulgarie. Les Bulgares qui attendaient avec ténacité la rencontre.
« Nous portons les costumes traditionnels de notre pays. Nous préparons ce festival depuis un an. Et pour nous, c’est très important d’être ici et…», Kaloyan Hristov, participant bulgare.
La fête s’est terminée le 25 novembre.
