Si le sigle HPI est aujourd’hui très connu, grâce notamment à la série éponyme avec Audrey Fleurot aux millions de fans, celui de HPE l’est un peu moins. Il désigne ceux qui ont un « fort potentiel émotionnel », ce qui se traduit notamment par une sensibilité accrue, une intuition développée et une forte empathie. C’est notamment le cas de Julie de Bonacomme l’héroïne deÉricala nouvelle série événement de TF1, dont les épisodes 3 et 4 sont diffusés ce lundi 13 janvier chez nos confrères de Télé 7 Jours.
“Je peux encore avoir mon cœur qui bat si fort que les ingénieurs du son peuvent l’entendre !” Julie de Bona parle de son stress
Cette révélation est intervenue alors que l’heureuse maman expliquait à quel point le stress avait pu la paralyser au début de sa carrière. Si aujourd’hui, Julie de Bona parvient à mieux le contrôler, elle peut parfois avoir un peu plus de difficulté. “Je peux encore avoir mon cœur qui bat si fort que les ingénieurs du son peuvent l’entendre» explique-t-elle à nos confrères, ajoutant, non sans humour : «Je ne parle même pas de théâtre !« Ce dernier explique : »Je crois qu’il y a pas mal de gens très timides parmi les acteurs, qui ont choisi cette voie pour combattre le mal par le mal.« . Lorsqu’on lui demande si c’est son cas, elle répond que peut-être, inconsciemment. Avant d’expliquer : «En tout cas, il était vital pour moi de trouver un moyen d’expression pour faire sortir toutes mes émotions.« .
“Cela vous envahit et vous paralyse…« Julie de Bona diagnostiquée HPE, confie-t-elle
Une confiance touchante, qui en entraîne une autre : «Je suis HPE” explains Julie de Bona. “Quand j’étais plus jeune, j’étais submergé par mes sentiments. La moindre chose prenait des proportions énormes dans mon corps et dans mon cœur. C’est un pouvoir qui t’envahit et te paralyse» confie-t-elle. Heureusement, comme elle le dit elle-même, le temps a fait son œuvre, et aujourd’hui elle parvient à «apprivoiser et comprendre [son] hypersensibilité« .