DÉCRYPTION – La proportionnalité, la fin de vie ou l’immigration sont des sujets régulièrement évoqués comme faisant l’objet d’un référendum. Mais le cadre constitutionnel rend son exercice compliqué, notamment dans le contexte politique actuel.
Une première ma fautedu bout des lèvres. Mardi 31 janvier à 20 heures, le Président de la République a reconnu que la dissolution avait porté “plus de division” de quoi “solution”. Suite à ce constat, il semble déterminé à redonner la parole aux Français en 2025. Dans ses vœux diffusés à la télévision, il a indiqué que, au cours de l’année à venir, « Nous aurons des choix à faire pour notre économie, notre démocratie, notre sécurité, nos enfants ». Et pour continuer : « C’est pourquoi en 2025, nous continuerons à décider et je vous demanderai également de trancher sur certaines de ces questions déterminantes. Car chacun d’entre vous aura un rôle à jouer.
S’il n’a pas dit le mot “référendum”son discours semble ouvrir la voie. Plusieurs sujets pourraient entrer dans ce cadre. En tête : l’instauration d’une dose de proportionnelle pour les élections législatives, évoquée notamment par l’ancien Premier ministre Michel Barnier lors de sa déclaration politique…
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