« C’était une évidence de me représenter… » Le président sortant de la Ligue Occitanie revient sur sa réélection

« C’était une évidence de me représenter… » Le président sortant de la Ligue Occitanie revient sur sa réélection
« C’était une évidence de me représenter… » Le président sortant de la Ligue Occitanie revient sur sa réélection

l’essentiel
Aujourd’hui se tient l’assemblée générale élective de la Fédération Française de . Réélu le mois dernier à la tête de la Ligue Occitanie, Philippe Belou se confie et rappelle son soutien à la liste du président sortant Gilles Moretton.

Était-ce une évidence de se représenter comme président de la Ligue Occitanie ?

Oui, c’était évident. À la fin de mon premier mandat, le constat était le suivant : un mandat, c’est très court. Ainsi, en me représentant, j’ai souhaité poursuivre tout le travail effectué avec mon équipe depuis mon entrée en fonction.

Étiez-vous le seul candidat à votre succession ?

Oui. A mon arrivée, j’ai été réélu à l’unanimité. J’en profite également pour rappeler que dans le cadre des élections fédérales, la Ligue Occitanie, à savoir les treize départements qui la composent, soutient la liste « Unis pour notre Fédération », menée par le président sortant Gilles Moretton. Nos relations avec la Fédération sont très bonnes. Nous appliquons la politique fédérale et nous y croyons toujours. Alors là aussi, il est évident de soutenir cette liste.

Quel bilan tirez-vous de ce premier mandat ?

Si l’on parle d’abord de chiffres, nous comptons plus de 116 000 licenciés, la part féminine restant à 30 %. Je n’oublie pas de citer les disciplines associées, à commencer par le padel qui a vraiment explosé, et nous avons aussi le beach tennis, le pickleball, sans oublier le para tennis. Je repense aussi à la période de crise sanitaire durant laquelle de nombreux clubs ont pu poursuivre la pratique en extérieur. Dans ce reportage, je souligne également toutes les visites de clubs que j’ai pu effectuer durant ce mandat de trois ans avec mon équipe. Au total, nous avons visité près de 300 clubs. Cela fait évidemment partie de cette précieuse collaboration entre clubs, dirigeants et enseignants. Nous avons aussi structuré encore plus les formations avec les clubs, les comités départementaux et la Ligue. Il y a eu aussi la mise en place d’un directeur fédéral de la performance, en la personne de Marc Barbier.

Quels sont vos objectifs pour ce nouveau mandat ?

Nous allons donc poursuivre sur notre lancée, avec le développement du tennis et des disciplines associées. Nous souhaitons également, en termes de résultats, rester dans le top 5 des Ligues françaises. Et on garde toujours en tête la volonté d’amener plusieurs jeunes dans le top 100 mondial comme ce fut le cas avec Hugo Gaston, Arthur Cazaux ou encore Benjamin Bonzi qui ne sont plus licenciés cette saison en Occitanie.

Comment se déroulent les élections fédérales de 2024 ?

Aujourd’hui, lors de l’Assemblée Générale élective, pour l’élection du Comité Fédéral et du Président de la FFT, les représentants des associations affiliées à la FFT (les présidents des clubs) sont pour la première fois invités à participer à distance, à partir de jeudi. jusqu’à aujourd’hui, via une plateforme de vote dédiée. Le Comité Exécutif et le Conseil Supérieur du Tennis laisseront place à un Comité Fédéral et à un Bureau Fédéral.
Le Comité fédéral élu sera composé de 54 membres (27 femmes, 27 hommes), dont 50 membres élus au scrutin de liste et 4 membres élus au moyen de postes dits réservés. Quant au Bureau fédéral, il sera composé de 20 personnes (10 femmes, 10 hommes), dont deux représentants des sportifs de haut niveau et 18 membres élus par le Comité fédéral en son sein.

Face à la liste « Unis pour notre Fédération », emmenée par le président sortant Gilles Moretton, on retrouve la liste « Les Clubs au cœur de notre engagement », emmenée par Germain Roesch.

 
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