Michel Barnier très agacé par cette remarque en direct d’Anne-Sophie Lapix

Michel Barnier très agacé par cette remarque en direct d’Anne-Sophie Lapix
Michel Barnier très agacé par cette remarque en direct d’Anne-Sophie Lapix

Michel Barnier est dans une situation délicate. Depuis le 5 septembre, l’homme de 73 ans occupe le poste de Premier ministre. Il est cependant la cible de motions de censure de la gauche et du RN. Mardi 3 décembre, il a accepté de répondre aux questions d’Anne-Sophie Lapix et de Gilles Bouleau en direct sur TF1 et 2.

Dès son arrivée sur le plateau, le chef du gouvernement a indiqué qu’il était «possible” que la motion de censure échoué. “Cela dépend des députés. Chacun a une part de responsabilité devant les Français, les électeurs de la circonscription et la France. Il est possible qu’il y ait ce réflexe de responsabilité au-delà des différences, au nom de l’intérêt supérieur.» a-t-il notamment affirmé.

Michel Barnier apparaît mal à l’aise devant Anne-Sophie Lapix

Lors de son entretien, Michel Barnier a évoqué son engagement pour qu’il n’y ait pas remboursement des médicaments en 2025. Un sujet qui a immédiatement fait réagir Anne-Sophie Lapix, qui a souligné : «Vous avez précisé que c’était à Marine Le Pen que vous proposiez cette concession. D’autres l’avaient demandé, mais vous avez précisé dans le communiqué que c’était pour elle».

Face à cette remarque, Michel Barnier est apparu inconfortable. “Oui parce qu’elle a été la dernière à m’en parler» a-t-il alors tenté de se défendre. En effet, lundi 2 décembre, le Premier ministre a spécifiquement cité le nom de Marine Le Pen et du Rassemblement national, sans citer
les autres partis.

Le Premier ministre tente de calmer la situation

Visiblement pas satisfaite de la réponse du Premier ministre, Anne-Sophie Lapix a insisté. “Cela donnait l’impression que vous ne négociiez qu’avec Marine Le Pen, ce que dénoncent également les socialistes.” dit-elle. Une information aussitôt démentie par le principal intéressé.

Michel Barnier alors j’ai essayé de calmer la situationindiquant que le Rassemblement national n’était pas le seul à s’impliquer sur ce sujet. Il a expliqué : «Cette exigence, cette idée de non-définancement, était aussi dans les propositions de la gauche». Un mea-culpa qui n’a pas convaincu le journaliste, qui a ensuite souligné une nouvelle fois sa proximité avec le RN.

France

 
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