Karine Le Marchand gives a rant

Le combat continue ! Alors que la saison 19 de “L’amour est dans le pré” s’apprête à connaître son épilogue, Karine Le Marchand a pris son smartphone ce lundi 2 décembre pour pousser « un petit coup de gueule pour les agriculteurs » sur son compte Instagram. Pas seulement ceux qui se sont fait remarquer dans l’émission de rencontres de M6 mais tous les agriculteurs de France.

Il y a un peu moins d’un an, alors que les protestations s’intensifiaient, l’animatrice affichait son plein soutien. “S’il y a une manifestation à Paris, je monterai sur leur tracteur”» a-t-elle déclaré avant de rejoindre le blocus de Paris pour distribuer des croissants et ainsi interpeller les médias. Fin novembre, les agriculteurs entrent dans un nouveau cycle de mobilisation et Karine Le Marchand décide d’agir à nouveau.

Lire aussi
“S’il y a une manifestation à Paris, je monterai sur leur tracteur” : Karine Le Marchand réitère son soutien aux agriculteurs

“Il y a très peu de mesures qui ont été mises en place, des mesures depuis un anelle a déploré. Les promesses n’ont pas été tenues, il faut arrêter de croire les politiques, je ne pense pas qu’ils changeront grand-chose. En tout cas, je ne veux pas qu’on les attende car il y a beaucoup de gens qui meurent de faim.»a-t-elle souligné.

En début d’année, Karine Le Marchand a appelé “Les consommateurs doivent arrêter d’acheter de la merde”. Cette fois, l’animateur se tourne vers les gérants de supermarchés. « Je pense que le changement peut venir de l’industrie mais surtout des hypermarchés. Etes-vous d’accord si je fais une pétition pour soutenir un projet ? Je vais vous détailler toutes les idées mais je parle avec beaucoup d’agriculteurs et je sais que vendre en hypermarchés peut tout changercontinua-t-elle. Êtes-vous d’accord pour soutenir ce projet ? Dites-moi si je lance une pétition, si vous me soutenez et je vous dirai en détail (sic) ce que j’ai en tête mais j’ai besoin du soutien des Français et donc des consommateurs pour demander plein de choses aux hypermarchés.conclut-elle.