Entre le nombre de matches de plus en plus importants et les performances peu glorieuses du Paris Saint-Germain, Laure Boulleau ne cache pas que le club parisien ne l’enthousiasme plus.
Grande supporter du Paris Saint-Germain, club dans lequel elle a joué tout au long de ses 13 années de carrière professionnelle, Laure Boulleau est frustrée et ne vibre plus. Son club de prédilection ne lui permet plus de vivre de belles émotions. Cela est dû à plusieurs facteurs, dont la dynamique peu flatteuse évidente des Rouge et Bleu et le nombre de matches toujours plus important, saison après saison. Sur Canal+ après la défaite du PSG sur la pelouse du Bayern Munich, la consultante phare du CFC n’a pas mâché ses mots concernant son ressenti.
L’ancien latéral gauche du Paris Saint-Germain a expliqué aux autres consultants que le Paris Saint-Germain ne la faisait plus vibrer ni ressentir la moindre émotion positive. ” J’avais déjà peu d’espoir car c’était compliqué pour eux de se projeter, de se créer des occasions, mais après le rouge, à dix contre onze, c’était encore plus difficile pour le PSG. Ce qui me dérange, c’est que plus les matches se répètent, moins j’ai d’émotion. Quand je regarde les matchs du PSG, je ne sens pas cette petite étincelle. Je suis peut-être un grand romantique, mais je veux ressentir quelque chose, même dans les matchs où on peut perdre. Là, les matches se répètent et je ne ressens pas grand chose. S’ils se qualifient, tant mieux, mais je veux ressentir beaucoup plus d’émotions que ça », lâche-t-elle en critiquant les récentes performances du club.
Le PSG ne fait plus sensation
La défaite du Paris Saint-Germain sur la pelouse du Bayern Munich en Ligue des champions tend les consultants qui haussent le ton. Alors qu’il a rapidement fait l’unanimité dès son arrivée, Luis Enrique s’enferme aujourd’hui dans un schéma qui ne plaît pas à tout le monde. En l’absence d’un numéro 9, les faiblesses dans le geste final ont fini par être un problème récurrent lors des derniers matches du PSG. En tout cas, pour Laure Boulleau, les matchs de l’équipe parisienne ne véhiculent plus assez d’émotion.
