La Juve revient d’Udine sans avoir encaissé de but. Après avoir marqué sept buts lors des trois derniers matches, ce n’était pas arrivé depuis le match contre la Lazio qu’ils gardent leur cage inviolée. Les Bianconeri ont connu quelques risques, notamment lorsque Lucca a touché la barre transversale en seconde période : le retour de Kalulu dès la première minute, aux côtés de Gatti, a cependant redonné à l’équipe la solidité que l’équipe avait perdue dans la dernière période. Motta sourit d’avoir trouvé le bon équilibre en défense mais reste entier le cas Danilo, qui avait retrouvé le maillot de départ grâce à son remplacement contre la Lazio. Avec lui sur le terrain, la Juve a cependant un peu trop souffert, même si cela ne peut pas être la seule explication de la faiblesse défensive manifestée contre Stuttgart, l’Inter et Parme.
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FEUILLE PROPRE
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Lors du match contre l’Udinese, la réagression du ballon s’est améliorée, à commencer par les attaquants et les milieux de terrain. La performance moins hystérique (par rapport à la dernière période) de la ligne défensive s’est basée sur cette tendance, étant attentive dans la plupart des circonstances dans lesquelles l’Udinese devenait dangereux dans la surface de Di Gregorio. Il suffit de dire que le gardien de la Juventus n’a dû gérer que deux tirs cadrés et que, même à long terme, après les changements des flancs inférieurs (Danilo et Cabal pour Savona et Cambiaso), l’Udinese n’a jamais trouvé le couloir libre pour faire lui-même plus efficace devant le but : à l’exclusion évidemment du très occasionnel qui s’est produit à Lucca. Il s’agit de la huitième clean sheet de la saison entre le championnat et la Ligue des champions pour les Bianconeri, la deuxième depuis l’arrêt de Bremer. L’absence du Brésilien pèse lourd et Giuntoli ne s’en cache pas, admettant que la priorité du marché des transferts de janvier concerne la défense.