Lancée dans le cadre des URBAN Photo Awards, URBAN Photo Arena revient pour une deuxième édition. Ce prix, destiné aux photographes de moins de 35 ans, est l’occasion de découvrir les talents de demain.
Fondateur des URBAN Photo Awards, Stefano Ambroset envisage l’URBAN Photo Arena comme une compétition sportive : « Chaque semaine, comme lors d’un match sportif, les photographies soumises au concours affrontementsAvant, et, point culminant du spectacle, les photographes eux-mêmes seront les juges. Ils voteront pour déterminer les gagnants de chaque tour, départageant les images les plus captivantes. Au fur et à mesure que la compétition progresse, seules les meilleures photos se hisseront en tête du classement.» La finale sera jugée par Harry Gruyaert, président du jury des URBAN Photo Awards de cette année.
URBAN Photo Arena offre une exposition précieuse aux jeunes générations de photographes, avec la possibilité d’exposer leur travail à la Fondation Pietro Pettini lors de la prochaine édition des Trieste Photo Days cet automne. L’année dernière, c’est le Français Romain Miot qui, à 28 ans, avait remporté le prix avec sa photo « Devenir adulte » d’un jeune Soudanais. Le jury était alors présidé par Alec Soth.
Deux types de lauréats dans ce concours : outre les meilleures photographies, choisies par un jury international, les équipes des URBAN Photo Awards ont souhaité récompenser « la personnejamais eu de vote et‘l’intuition photographique de tous ceux qui ont aidé à choisir la photographie gagnante ». Un prix sera décerné au « meilleur votant ».
Cette année, un prix spécial, « The Patricia D. Richards Legacy Award », sera également décerné à tous les photographes de moins de 35 ans ayant soumis des images dans la section Projets et portfolios. Il rend hommage à la photographe américaine Patricia D. Richards et à « la passion qui a animé toute sa carrière » comme l’explique Stefano Ambroset.
Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 16 juin et, afin de permettre l’accès au plus grand nombre, elles sont gratuites cette année. De plus, le thème est gratuit, offrant une grande liberté aux jeunes pour s’exprimer sur tous les sujets.
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