ils misent sur l’agrotourisme pour développer des liens avec le Maroc

ils misent sur l’agrotourisme pour développer des liens avec le Maroc
ils misent sur l’agrotourisme pour développer des liens avec le Maroc

L’association Investisseurs Marocains du (IMDM) a été créée le 23 janvier 2024. Elle est basée à Thouars, dans les Deux-Sèvres, et présidée par l’Airvaudais Rachid Kouifi. Elle ambitionne de se déployer dans le monde entier et compte déjà des membres dans neuf pays (, Maroc, Espagne, Italie, Belgique, Pays-Bas, États-Unis, Canada et Qatar). « Notre mission est de créer des ponts avec les expatriés pour favoriser le développement économique et social du Maroc et de la communauté marocaine à travers le monde »résume le président.

Au-delà de favoriser l’échange de connaissances et d’expériences, d’accompagner les jeunes et les personnes handicapées vers l’emploi, ou encore d’organiser des formations et d’encourager le dialogue avec les citoyens, les élus et les acteurs économiques, IMDM souhaite également mener des projets ciblés.

Énergies renouvelables et permaculture

Exemple : la signature, en ce mois de janvier 2025, d’un « partenariat stratégique » avec l’entreprise marocaine Touriver, située près de Casablanca et spécialisée dans la permaculture et les énergies renouvelables. « Elle a été sélectionnée parmi les 25 entreprises marocaines rejoignant le projet d’accélérateur de croissance verte et d’emplois, en partenariat avec les Nations Unies et le ministère danois des Affaires étrangères »specifies Rachid Kouifi.

Objectif de ce syndicat : « Développer l’agrotourisme durable au Maroc et renforcer les liens entre le monde rural et la diaspora marocaine », s’appuyant sur des méthodes observées à l’étranger, notamment en France et dans les Deux-Sèvres.

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« L’agrotourisme est un secteur en pleine croissance qui répond aux attentes grandissantes des voyageurs. La promotion des ressources agricoles et du patrimoine rural marocain dynamisera l’économie rurale, créant des opportunités notamment pour les jeunes et les femmes, conclut le président de l’IMDM. Cela devrait également permettre de soutenir des modèles économiques respectueux des écosystèmes locaux, et donc de réduire les pressions migratoires grâce aux alternatives de développement économique au Maroc. »

Contacts : tél. 06.84.29.67.40 et [email protected]

France
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