En mars 2024, M6 propose un nouveau numéro de Cauchemar dans la cuisinece qui s’est avéré très émouvant. Il a mis en lumière le couple de restaurateurs formé par Christian and Béatrice Baïettoune charge pour vous Cygne d’espoir à Allas-les-Mines (Dordogne). Et selon des informations récentes sur le restaurant, Philippe Etchebest n’aura pas réussi à faire des miracles. En effet, malgré la visite du célèbre chef, Christian et Béatrice n’auront pas réussi à surmonter toutes les difficultés qui pesaient sur leurs épaules. Et la situation s’est aggravée récemment.
Pour cause, ne pas être non propriétaires de l’établissement, et face à l’absence de clientèle, ils sont incapables de payer le loyer fixé par les propriétaires des lieux, des retraités aux noms de Sylvie et Robert Besse. Et ce, même depuis quasiment leur arrivée à la tête du restaurant. Une bataille juridique s’ensuit alors, comme l’a découvert Here Périgord (anciennement France Bleu). Selon les documents fournis par nos confrères, le tribunal de Bergerac a jugé en avril 2024, suite à une plainte déposée en février 2023, que le bail devait être résilié et que Christian et Béatrice Baïetto ne pouvaient donc plus avoir le droit de travailler dans les lieux. dans les deux mois suivant la décision. Il leur a en outre été demandé de rembourser la somme de 23 000 euros.
Le restaurant aurait « définitivement fermé ses portes »
Une décision contestée par les principaux intéressés, qui ont souligné que le travail n’était pas terminé depuis qu’ils ont repris le dossier. Mais malgré leur demande d’appel, la justice a confirmé son verdict en novembre dernier. Pire encore, cela a accru leur dette, qui est passé à 60 000 euros. Christian et Béatrice n’ont plus eu de nouvelles d’eux et le restaurant apparaît aujourd’hui comme «définitivement fermé» selon Google.
Malgré la condamnation de leurs locataires, les propriétaires n’ont toujours pas vu la couleur de l’argent. “Nous sommes complètement impuissants. Nous serons bientôt à la rue puisque nous n’avons plus rien. J’ai dû emprunter de l’argent à la banque, j’ai contracté un emprunt de 27 000 euros pour survivre», confiait Robert Bresse à Here Périgord, qui n’a même plus de contact avec le Baïetto.