Par Félicité Peyridieu
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Il y a 9 minutes,
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Ed Miller/Netflix / Ed Miller/Netflix
Depuis la sortie de la série en avril 2024 sur la plateforme de vidéo à la demande, Fiona Muir-Harvey se dit menacée et dénonce du harcèlement. La femme fait désormais face à de nouvelles accusations.
La série Netflix raconte l’histoire vraie de l’Écossais Richard Gadd, qui est traqué par une femme nommée Martha, espionnant et harcelant Donny, le personnage central de Mon petit renne Identifiée par des fans, Fiona Muir-Harvey a déposé une plainte en diffamation contre Netflix, réclamant 170 millions de dollars (environ 156 millions d’euros) de dommages et intérêts.Cette affirmation (…) est le plus gros mensonge de l’histoire de la télévision», a même déclaré l’Écossaise, sortant de l’ombre, après de nombreux messages de fans.
Aujourd’hui, un nouveau rebondissement apparaît dans l’histoire outre-Manche. En découvrant Fiona Muir-Harvey lors d’une interview télévisée, un certain George Galloway, ancien député britannique, a reconnu en elle une ancienne harceleuse. Invité de l’émission “Piers Morgan Uncensored”, l’homme politique de 69 ans a révélé qu’il portait plainte contre cette femme qui l’aurait harcelé dans les années 1980. Des accusations qui compliquent encore davantage le cas de Fiona Muir-Harvey.
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L’homme politique anglais a déclaré que son harcèlement avait commencé peu après son élection au poste de député de Glasgow Hillhead pour le Parti travailliste. Fiona Muir-Harvey l’aurait suivi et aurait développé une approche obsessionnelle à son égard.Elle était partout où je tournais la tête. a même déclaré George Galloway. Il a également ajouté qu’elle a appelé et est venue à son bureau “des centaines de fois».
«Elle était juste dans ma vie alors que je ne voulais pas qu’elle y soit.il a dit. Pensant d’abord qu’elle était attirée par lui, George Galloway a rapidement eu peur de cette approche obsessionnelle, même s’il n’a jamais reçu de menaces directes.
Fin avril, Richard Gadd avait appelé sur Instagram aux fans de la série de cesser de chercher à découvrir l’identité des personnages. Cependant, il semble que la situation soit devenue plus grave que prévu. Quant à Netflix, le géant américain avance toujours : « Nous avons l’intention de défendre vigoureusement cette affaire et de défendre le droit de Richard Gadd à raconter son histoire. ».
