un tournage difficile pour l’animateur Stéphane Plaza, marqué par un drame personnel

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Une collection qui nous fait voyager, Meurtres à… nous emmène ce soir à Figeac, petite ville du Lot. L’occasion d’avoir droit à une enquête bien menée, mais aussi de se retrouver face à un casting étonnant, composé de Samira Lachhab, Patrick Descamps, Julie-Anne Roth et… Stéphane Plaza. Agent immobilier, comédien et comédien, il a pris place devant la caméra d’Olivier Barma dans un costume particulier, celui de l’un des deux rôles principaux.

Meurtres à Figeac ou le mystère de la momie

Vivant à Toulouse depuis un an et le décès de son mari Alexandre, Manon revient à Figeac pour la première fois. Un court séjour, le temps pour cette lieutenant de police d’honorer la mémoire de son mari, en compagnie de sa famille. Des gens qui avaient failli l’adopter, mais avec qui ça colle moins, la faute à la poursuite de sa carrière dans la ville… A l’occasion de ses retrouvailles, elle rencontre le frère d’Alexandre, Olivier Peyrusse, ancien camarade de la brigade locale, qui a compris son exil. Manon et son beau-frère, deux détectives qui vont s’associer pour un fait divers pas comme les autres : au musée de Figeac, un corps a été retrouvé momifié. On comprend vite que la victime était le chef d’un clan de propriétaires fonciers…

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Stéphane Plaza a vécu l’épreuve du deuil, comme son personnage

Olivier Peyrusse, un rôle qui a tout de suite plu à Stéphane Plaza, comme il l’a confié à Gala : « J’aime l’idée de ce personnage qui abandonne tout pour découvrir la vérité sur la mort de son frère. Alors que sa famille se désagrège, j’ai trouvé très drôle qu’il vive dans des cartons. Et puis, il y a aussi ce côté silencieux, obsessionnel et légèrement schizophrène de cet homme qui me plaisait. Il est comme un fantôme dans sa vraie vie essayant de trouver la vérité. J’ai tout de suite été très intéressé par ce policier dérangé. Un personnage dans lequel il se fond complètement et se retrouve même. Car oui, l’animateur de M6 partage avec lui une cicatrice, qui a rendu le tournage particulier : «Je dis toujours que je suis un loup blanc. Ayant 52 ans, je connais un peu la solitude. Comme Olivier, j’ai eu du mal à faire mon deuil (le décès de sa mère en 2016, NDLR). C’était beaucoup de travail pour moi. Alors oui, je me retrouve dans ce personnage, c’est sûr.

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