Gilles et Renaud, candidats emblématiques de la saison 19 de L’amour est dans le pré – dont la première partie sera diffusée le 25 novembre sur M6 – étaient les invités de l’émission Buzz TV de Figaro Vendredi 8 novembre. L’occasion, pour les deux amis, de s’exprimer sur leurs prétendants et de se remémorer les débuts de leur participation à cette édition de l’émission rurale animée par Karine le Marchand. Une édition, rappelons-le, laissée en chemin par trois de leurs confrères avant même sa diffusion. Ils ont également été encouragés à commenter les choix faits par la production au début de l’émission.
Gilles incisif sur les premières saisons de L’amour est dans le pré : « Cela ne représentait pas les agriculteurs »
Le journaliste Damien Canivez a demandé aux deux participants de L’amour est dans le pré si les rencontres rurales réussies avaient, selon eux, contribué à changer la perception des téléspectateurs sur le monde rural et ses acteurs. Une question à laquelle Gilles a répondu par l’affirmative, avant de nuancer son point de vue en émettant certaines critiques. “Oui, mais c’est vrai qu’au début, c’était peut-être un peu dur”» dit-il en choisissant soigneusement ses mots. « Il y a eu des années où les agriculteurs n’étaient pas très… Je ne vais pas dire “évolué”, mais bon… c’était dur »il a observé. « Cela ne représentait pas vraiment la majorité des agriculteurs »il a ensuite résumé.
Renaud (L’amour est dans le pré) plus magnanime : « Il faut l’accepter »
Un point de vue que Renaud a tenté de tempérer. « Oui, ben il faut savoir que certaines structures, certaines opérations, ont beaucoup évolué »a estimé le Mayennais, perçu comme attachant par plusieurs téléspectateurs, sur le plateau de Buzz TV. “Il y en a d’autres qui sont heureux comme eux”philosophe-t-il, voulant adoucir les angles. « C’est la ruralité. Il faut accepter les agriculteurs dans leur environnement tel qu’il est »résuma-t-il sans perdre son sourire. « Justement, ils nous font manger les agriculteurs. On s’en est rendu compte récemment avec la crise”a conclu le journaliste. Tu as raison.”
Article rédigé 6Medias