Un de plus Meurtres à… nouveau! Ce samedi, France 3 dévoile une nouvelle unité à 21h05, pour une nouvelle destination ! Sous la caméra de Marjolaine de Lecluse, le rendez-vous se fera au bord de la Méditerranée, vers la Côté Bleue. Le tout pour une intrigue savoureuse servie par Garance Thénaukt, Alexandra Vandernoot, Serge Riaboukine, Roby Schinasi, Nathalie Besançon, mais aussi et surtout Jean-Pierre Foucault ! Un animateur qui s’est lancé un nouveau défi en enfilant la casquette d’acteur…
Meurtres sur la Côte Bleue : Meurtres en série au paradis
Meurtres sur la Côte Bleue nous emmène sur les traces d’une jeune inspectrice, Chloé Soldani. Après la disparition de son père, elle demandera à être transférée en Provence pour aider sa mère à faire face à ce drame. C’est là, en bord de mer, qu’elle fera équipe avec Lino Perrin, capitaine enquêtant sur l’assassinat d’un entrepreneur en bâtiment, éjecté du haut d’un viaduc. Problème, seul témoin de ce crime, l’architecte Marc Valenci s’avère être le nouveau partenaire de sa mère… Par ailleurs, un second meurtre va dérouter Soldani, qui verra en Diego, le fils de Marc, un potentiel suspect. Un jeune homme pour qui elle a le béguin. De quoi la faire vaciller encore plus !
Jean-Pierre Foucault : “J’ai souffert pour apprendre mon texte”
Dans la peau de Marc Valenci, on retrouve celui qu’on ne présente plus, Jean-Pierre Foucault. Animateur star depuis de nombreuses années, il a relevé le défi du jeu, comme ses collègues Stéphane Bern, Michel Cymes et Jean-Luc Reichmann. Une étrange expérience pour Jean-Pierre Foucault habitué des caméras, certes, mais dans un tout autre contexte. Parmi nos confrères belges de Téléproil revient notamment sur l’apprentissage compliqué de ses textes : « Quand on est animateur, on improvise. Là-bas, c’était difficile d’apprendre tous les dialogues par cœur, je prenais un coach, je répétais tout le temps, ma femme pensait que je parlais seul la nuit ! (.. .) J’ai souffert pour apprendre mon texte Et puis il faut que le public m’accepte… » A noter que son travail aura payé, comme le souligne le producteur Christophe Koszarek dans les colonnes de La voix du nord : “Il nous a tous époustouflés.”
