Il est plutôt rare que France 2 déprogramme ses émissions en journée. Ce sera pourtant le cas de deux émissions ce mardi 16 avril, commencer avec Ça commence aujourd’hui. Même si pour le moment, l’émission présentée par Faustine Bollaert ne propose pas de nouveaux numéros, elle ne sera pas à l’antenne. Il en est de même pour Accord conclu dans lequel Julia Vignali présente des objets qui sont ensuite mis aux enchères pour être achetés par des spécialistes des brocantes comme la redoutable Caroline Margeridon qui a elle aussi récemment participé à Danse avec les stars.
Pour quoi Accord conclu Et Ça commence aujourd’hui ne sont pas diffusés ce mardi 16 avril ?
France Télévisions a décidé de déprogrammer ces deux émissions qui séduisent un large public pour suivre l’actualité. En 2024, la France célèbre le 80e anniversaire du Débarquement et de la Libération. Pour commémorer cet événement, de nombreuses manifestations sont organisées dans la région tout au long de l’année. Celle qui a lieu ce mardi 16 avril rendra hommage aux résistants du Vercors, lieu où de nombreux Français sont morts et ont combattu contre l’invasion allemande pendant la Seconde Guerre mondiale. France Télévisions a donc décidé de proposer une émission spéciale qui sera diffusée sur France 2 et également sur Franceinfo.
Le reste sous cette annonce
Quelle émission France 2 proposera-t-elle à la place ? Accord conclu Et Ça commence aujourd’hui ?
Pour suivre au plus près la commémoration qui se déroule dans le Vercors, France 2 annule donc Accord conclu Et Ça commence aujourd’hui pour les remplacer par une édition spéciale. Celui-ci débutera à partir de 13h55 et sera présenté par le journaliste Jean-Baptiste Marteau. Il sera accompagné de la journaliste Nathalie Saint-Cricq, qui vient de dévoiler son salaire exact. Sur le plateau, tous deux recevront de nombreux invités parmi lesquels l’historien Jean-Yves Le Naour et l’écrivain Francis Ginsbourger dont la famille fut cachée pendant la guerre. Il y aura aussi l’ancien sélectionneur du XV de France Philippe Saint-André car son grand-père était résistant ainsi que Gil Emprin, historien au Musée de la Résistance de Grenoble.
