DLes chemisiers blancs se penchant sur le streetbench, l’œil collé au binoculaire. Les mains qui manipulent des pièces à peine plus grandes qu’un grain de sable. Ici, les horlogers sont des magiciens fascinés par le magnifique horloger qu’ils écoutent religieusement. Alors que les pinces agitent autour du pendule, le silence règne parce que le travail nécessite une méticule et une attention. Tant de soins ont mis un objet de la vie quotidienne, la montre.
Bienvenue dans la «bergette» de l’horloger, qui est le cœur de cette entreprise horlogère basée à Mérignac. Dans cet espace qui ressemble plus à un laboratoire scientifique qu’à une enceinte, une douzaine d’horlogeurs sont actifs, travaillant sur la maintenance, la révision et la réparation de professionnels des professionnels et des individus. Toutes les marques et tous les modèles modernes ou anciens ont peigné. «Les fabricants sont très exigeants», explique Stéfen Martinot, qui garantit le respect de la bergette, conçue dans les règles de l’art des plus grands ateliers suisses. Haute Couture.
En recrutement complet
En quelques années, le horloger a évolué, déménagé, doublé son nombre d’employés (ils ont 12 ans) et aujourd’hui, il est sur le point de recruter deux nouvelles surveillants et une administrative. L’activité de l’entreprise est portée par l’explosion du marché des montres de luxe depuis 2010 et le goût de l’horlogerie élevé. En trois ans, il s’est étendu à l’échelle nationale et a développé une clientèle étrangère. Le horloger est approuvé par de nombreuses marques, dont certaines sont parmi les usines suisses les plus prestigieuses comme Tag Heuer, Hublot et Bell & Ross ou Omega.
Cette colle impérative de qualité avec la présence d’équipements de pointe: machine à souder laser, broyage de précision, bains à ultrasons et imprimante 3D, et autres… en même temps, le commerce électronique se développe et le centre de surveillance innove en offrant au client à Suivez en temps réel les différentes étapes de la réparation de l’objet précieux. C’est dans l’ADN de l’horlogerie française. Cet art d’âge, âgé de 700 ans, n’a jamais cessé de se réinventer: l’aventure des montres à lèvres à Besançon, la révolution du quartz dans les années 1980…
Centre de formation
Pour répondre à une clientèle exigeante, le horloger est basé sur deux dirigeants d’ateliers, deux œufs avec un long CV comme The ARM: Jean-Louis Stock, le directeur de l’atelier, la sixième génération de horlogers, une qualification plus élevée à Omega et son équipage de compagnon, Franck Alonso, directeur de l’atelier pendant dix ans chez Breitling et Rolex. Leurs connaissances se déroulent, immenses et secrètes. Dans leur sillage, les jeunes générations d’horloger rêvent également de remonter dans le temps, de s’émerveiller devant des modèles très anciens de la marque Whitepain ou de la série limitée, comme l’Omega Snoopy.
«C’est un travail qui est à la fois ancestral, artisanal et un travail de transmission: l’apprentissage de la réparation nécessite des années d’expérience», résume Stefen Martinot, qui a décidé de prendre la tête en ouvrant bientôt un centre de formation. Le horloger formera en interne les jeunes horlogers qui quittent l’école et seront ouverts aux individus, aux horlogers qui veulent monter des compétences, des vendeurs, etc. Ce sera l’occasion d’échanger du savoir-faire. Mieux encore: cultiver un art de vivre là-bas.
Parce que les montres accompagnent la vie de ceux qui les portent: l’attachement est parfois plus sentimental qu’il n’y paraît. Il y a des sons que nous aimons, le Tick-Tac discret qui offre un refuge serein où les souvenirs prospèrent. De petits morceaux, des engrenages qui vous permettent de donner le temps d’avoir également une histoire à raconter.
Le boom du service après-vente
«Nous ne jetons pas un rolex doré!» Parce qu’il n’y a rien à jeter dans l’horloge, les centres du service après-vente pour l’horlogerie ont un bel avenir devant eux, explique le délégué général de la Fédération de l’horlogerie Laurent Baup. «La France a un gros maillage de réparateurs avec des horlogers de très haut niveau. Les grandes marques ne veulent plus que quiconque répare ses produits: ils approuvent les Watchrs, qui se mettent régulièrement à jour. «Ce secteur se déroule tandis que la production française se déplace un peu:» Il y a quelque temps, il était impossible de trouver un mouvement français. Petit à petit, nous observons une dynamique en faveur de la relocalisation. Mais pour trouver une montre à 100% en France, vous devrez prendre votre temps…