C’est le domaine dans lequel étudie Louis-Thomas, le fils de Mélanie Maynard

C’est le domaine dans lequel étudie Louis-Thomas, le fils de Mélanie Maynard
C’est le domaine dans lequel étudie Louis-Thomas, le fils de Mélanie Maynard

Quand les enregistrements se terminent Sucré et saléMélanie Maynard éprouve une baisse d’adrénaline. Pour éviter la dépression automnale, l’animateur a mis en place une nouvelle stratégie cette année, et ça a fonctionné !

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Mélanie, comment t’es-tu préparée pour MDR : Qui rira le dernier ?

Parce que j’ai participé à plusieurs spectacles d’humour dans ma vie, les gens disent que je suis un comédien, mais pas du tout ! J’ai toujours eu le syndrome de l’imposteur en matière d’humour. Alors je suis arrivé sur le tournage de MDR : Qui rira le dernier ? en me disant que j’allais définitivement être le premier à sortir.

C’est vrai qu’on ne vous attendait pas là-bas !

Pendant les premières minutes, je n’arrêtais pas de répéter dans ma tête : « Veux-tu me dire pourquoi tu as accepté de faire ça ? Puis finalement, en partant de là-bas, j’étais content d’avoir participé, car c’est le genre de projet qui me sort complètement de ma zone de confort.

Étiez-vous nerveux ?

Ce qui m’inquiétait le plus, c’était de présenter un numéro de comédie devant des comédiens qui ne devraient pas rire. La plupart du temps, quand je suis drôle, c’est par accident, c’est-à-dire que je suis d’humeur ou que je dis quelque chose qui n’a aucun rapport. Au fond, c’est mon déficit d’attention qui me rend drôle !

Et qu’est-ce qui te fait rire dans la vie ?

Il n’y a rien de plus drôle que quelqu’un qui retient de rire. Cela nous arrive régulièrement Les enfants de la télé: on voit une vidéo, quelqu’un essaie tant bien que mal de rester sérieux, et finalement, tout le monde s’effondre. Il y a aussi des gens dans la vie qui me font naturellement rire. Mes plus grands rires Sucré et saléJe les ai eus avec Patrice Bélanger et Julie Perreault.

Bruno Petrozza / TVA Publications

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Le retour du spectacle Sucré et salé n’a pas encore été annoncé, mais je croise les doigts pour que vous reveniez. En attendant, qu’est-ce qui vous occupe ?

Je prends soin de moi. J’ai remarqué que lorsque la saison de Sucré et salé se termine, l’adrénaline s’estompe et j’ai un petit blues d’automne. L’année dernière, j’ai consulté un kiné, un massothérapeute, un psychothérapeute… Bref, tous les « pauvres » qu’il y a ! (rires) Cette année, j’ai mis en place une nouvelle stratégie…

Qu’est-ce que c’est?

J’ai commencé à m’entraîner. J’ai un entraîneur privé que je vois deux à trois fois par semaine. Ce qui est amusant, c’est qu’on ne fait jamais la même chose. Une semaine, je pourrais demander à jouer au Pickleball, à faire de l’aérobic ou même du Pilates. Comme ça, je ne me lasse jamais de bouger. Je vois vraiment une différence dans mon énergie, physique et mentale.

Qu’est-ce que l’exercice vous apporte ?

Tout au long de la saison Sucré et saléJe suis tourné vers les autres. L’exercice me permet de me recentrer, de me retrouver. Je poursuis également mes rendez-vous avec le psychiatre. Comme une voiture qui a besoin d’une vidange tous les 5 000 km, mon cerveau a besoin de se vider la tête, de repartir.

En terminant, nous suivons la carrière de votre fille Rosalie, qui est présentatrice et comédienne. Mais qu’en est-il de votre fils Thomas ?

Il étudie la musique électronique. Autant je connais le domaine dans lequel travaille ma fille, autant je ne connais rien du domaine de mon homme. C’est très précaire pour la mère que je suis, mais il excelle dans ce qu’il fait et il est heureux. C’est tout ce qui compte pour moi.

Comment ont réagi vos parents lorsque vous leur avez annoncé que vous vous dirigeiez vers une carrière artistique ?

Ils n’étaient pas très enthousiastes à l’idée ; ils auraient préféré que j’évolue vers quelque chose de plus stable. J’ai fait ce que je voulais et je suis toujours là aujourd’hui. J’encourage donc mon homme à suivre sa passion. Je lui donne même parfois un coup de main, avec ses paroles de chansons en français. Nous n’écoutons pas le même genre de musique, mais nous avons un point commun : l’amour des mots !

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