« Sept à Huit », diffusé chaque dimanche sur TF1, est un rendez-vous incontournable pour les téléspectateurs amateurs de reportages et d’histoires captivantes. Ce magazine d’information, présenté par Harry Roselmack depuis sa création, propose une immersion dans des sujets variés allant de l’actualité internationale aux histoires humaines poignantes.
Ce dimanche 19 janvier, « Sept à Huit » a proposé un résumé varié et choc. Le magazine a débuté par un reportage sur l’impact des réseaux sociaux sur les jeunes, de plus en plus nombreux à s’entraîner dans des salles de sport low-cost, souvent sans encadrement. Une quête effrénée du corps parfait qui, loin d’être sans risque, a mis leur santé en danger. Ensuite, l’émission s’est penchée sur la beauté à bas prix et ses dangers potentiels pour la santé, une problématique de plus en plus préoccupante.
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Dès 18h20, « Sept à Huit » explorait des sujets aussi divers que les ventes aux enchères organisées par les douanes, qui permettaient de réaliser des affaires intéressantes, et l’histoire de Tony Peillon, un homme dont le parcours, entre vol et viol, a soulevé de nombreuses questions. Le programme s’est poursuivi avec un focus sur le Cap-Vert, qui a connu un véritable essor des séjours « tout compris », attirant de plus en plus de vacanciers. Enfin, à 19h30, Audrey Crespo-Mara a proposé le « Portrait de la semaine », donnant la parole à Lydia Hadjara, victime de la secte Raël, dans un témoignage poignant.
-Autant dire que tous ces sujets ont fait parler d’eux sur X, l’ancien Twitter, mais les internautes se sont davantage déchaînés sur le reportage centré sur la « beauté à petit prix ». En effet, l’émission mettait en lumière des pratiques illégales et dangereuses : des prestations de soins esthétiques proposées à des prix imbattables, dans des chambres d’hôtel, quatre fois moins chères que chez un médecin. Le rapport révèle également l’existence de « couturières maison » : des femmes, parfois sans qualification, utilisant des produits d’origine douteuse, achetés en ligne sur des sites de vente en gros, sans se poser de questions. Une situation alarmante, d’autant que des milliers de jeunes filles se tournent vers ces pratiques low-cost, pour ressembler à des « filtres » sur Instagram et Snapchat, créant ainsi un critère de beauté formaté, déformé et dangereux.
“Et puis ils pleurent quand ils ont une nécrose ou une infection !”
Les réactions des internautes sur X ont été virulentes après ce reportage sur la « beauté low cost ». Beaucoup ont exprimé leur inquiétude face à ces injections réalisées par des non-professionnels, retrouvées sur les réseaux sociaux, souvent dans des conditions d’hygiène douteuses. D’autres ont fustigé ce commerce illégal, estimant qu’il était irresponsable de mettre sa sécurité en jeu pour suivre un idéal de beauté inspiré par Kardashian. Enfin, de nombreux abonnés X se sont moqués des résultats souvent catastrophiques de ces interventions, soulignant qu’elles aboutissaient fréquemment à des défigurations.
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