Les deux pays ont également essuyé des échecs et une perte d’influence, notamment en décembre avec la fuite de Syrie de leur allié Bachar al-Assad.
Lors de la conférence de presse qui a suivi la signature de l’accord, Vladimir Poutine a affirmé que la Russie et l’Iran s’opposent conjointement à tout « diktat » des puissances étrangères. “Nos pays défendent fermement les principes de primauté du droit international, les principes de souveraineté et de non-ingérence dans les affaires intérieures”, a ajouté le président russe.
Le président iranien Massoud Pezeshkian a pour sa part appelé à un « règlement politique » du conflit en Ukraine qui dure depuis près de trois ans. « Les hostilités et la guerre ne sont pas la solution au problème », a-t-il déclaré, selon une traduction russe de ses propos. « Nous soutenons donc un règlement politique entre la Russie et l’Ukraine. »